Bleuenn ⊱ Dépêchez vous de vivre, dépêchez vous d'aimer.

BLEUENN CLARA MAUREL

Je m'appelle Bleuenn. J'ai mis un temps incroyable, quand j'étais petite, à arriver à prononcer mon prénom. Avouez que c'est complexe comme prénom. Je ne sais pas trop si je l'aime ou pas, c'est un prénom assez bizarre quand même. Je me réconforte en me disant que ça me donne un côté unique. On n'en trouve pas partout, des Bleuenn. Si je m'appelais Clara, ce ne serait pas pareil. Des Clara, il y en a des centaines. Clara est mon second prénom, au fait. Et c'est également le prénom de ma mère. Quant à mon nom de famille, c'est Maurel, et la première chose que j'ai à vous dire sur lui, c'est que vous avez intérêt à bien l'orthographier. Les gens l'écrivent toujours avec un O, parce qu'il a plus de Morel en France que de Maurel, et ça a le don de rendre mon père dingue alors, je me charge de faire passer le message au plus de monde possible. Enfin ce n'est pas vraiment nécessaire ici, à New York, les gens écrivent très souvent mal mon nom, mais c'est parce que c'est français et qu'ils ne connaissent pas mon nom. Sinon pour les informations secondaires, je suis née à Lyon au mois de mars, le 20 mars 1990 précisément. J'ai longtemps vécu à Paris, mais je demeure maintenant à New York avec Jud, mon petit ami. Et on me dit souvent que je ressemble à l'actrice Troian Bellisario.

HAPPY ENDING

COMMENT TU T'APPELLES? (pseudo ou prénom au choix) Thérèse-Marie.
C'EST QUOI TON ÂGE? Moitié de 30.
LE GROUPE DE TON PERSO? Drama queeeeeen.
COMMENT CONNAIS-TU SSAWI? Euh je sais pas.
QU'EN PENSES-TU? Il déchire tout. I love you

POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT Bleuenn ⊱ Dépêchez vous de vivre, dépêchez vous d'aimer. 176230

« Je suis assise avec toi dans ce café où on s'est tellement engueulés, où on s'est tellement fait de promesses, où tu m'as serré le genou sous la table quand on ne s'était même pas encore embrassés, c'était là-haut, au premier étage, la dame de la caisse s'en souvient, elle fait comme si, elle fait celle qui, mais je vois bien, moi, qu'elle s'en souvient et que de tout ça il ne reste rien. » (Justine Lévy.)

♫ Ra Ra Riot - Can you tell.
Quand j'étais petite et que j'accompagnais mon père dans les magasins de bricolage, j'adorais aller regarder les modèles de poignées de portes. Je pouvais rester là des heures, ça me passionnait. Et puis j'ai rencontré Pol. Et à partir de ce moment j'ai abandonné les rayons des magasins de bricolage.
Quand j'ai rencontré Pol j'étais une petite fille encore. Et lui un homme. Enfin pour être tout à fait exacte, j'avais treize ans et lui dix-huit, ce qui, à l'époque, me donnait la sensation d'être une toute petite enfant.
J'avais en fait douze ans quand je l'ai rencontré. Et non treize. Il a attendu mes treize ans pour sortir avec moi. Surement que ça lui paraissait moins jeune. Ça l'était quand même mais bon. Je ne me suis jamais plainte. J'aimais être avec lui. Il avait le don de me faire sentir spéciale, belle, unique, tout ce que vous voulez, mais surtout, quand j'étais avec lui, j'avais l'impression d'être une adulte. Il était le seul avec qui je pouvais avoir des vraies conversations sérieuses. Il était le seul avec qui je pouvais avoir des conversations tout court, en fait, puisque, n'étant jamais allée à l'école pour cause de prise de cours par correspondance, je n'avais jamais eu énormément d'amis.
Mes parents l'adoraient. En plus d'être le petit ami idéal, il était également le meilleur gendre que des parents puissent avoir. Avec quelques années en trop, certes. Mes géniteurs savaient très bien que je sortais avec Pol. Il n'empêche que, plusieurs fois, il a été invité à dormir chez nous et il est même resté dormir une nuit chez nous. En leur présence, il s'efforçait toujours de rester distant avec moi, de ne pas trop me toucher, de résister à la tentation de m'embrasser, mais je suis persuadée que si il l'avait fait, mes parents n'auraient même pas bronché. Ils ont toujours été stricts avec moi, mais je crois qu'ils s'en sont beaucoup voulu de m'avoir privée de voir des gens tous les jours, comme ça aurait été le cas si j'avais été à l'école. Ils ne se sont donc surement pas sentis capables de protester contre ma relation avec un jeune adulte comme Pol. J'aurais trouvé un moyen de le voir de toute manière. Pol m'a fait découvrir la vie, il m'a fait découvrir ce que ça voulait dire, vivre. Nous avons fait du vélo en pleine nuit dans Paris, nous nous sommes embrassés sous une violente pluie, nous avons traversé un périphérique en courant, nous avons volé des bonbons dans une boulangerie, nous sommes partis d'un restaurant sans payer et nous nous sommes assis en tailleur en plein milieu d'une route un soir. Je me rappellerai encore longtemps de ce moment. Je venais d'avoir quatorze ans et on marchait dans son quartier. Il était tard, j'étais fatiguée, et comme il n'y avait aucune voiture, je me suis assise au milieu de la route. Pol m'avait rejointe et s'était assis en tailleur face à moi, en me prenant les mains. Il m'avait dit : « Blue je t'aime tellement tu sais ... » Il avait secoué la tête en soupirant. « J'arrive pas à croire que je l'ai enfin dit. Pourtant c'est la vérité, je t'aime, voilà. » Je me rappelle avoir senti mon cœur tomber au fond de mon estomac. Ça m'arrivait souvent de ressentir ça quand j'étais avec Pol. J'avais cependant grimacé. « Pourquoi tu fais cette tête-là ? », s'était-il inquiété . « Je voulais te le dire en premier ... » Il avait souri puis m'avait embrassée. Quand je repense à cette nuit, je m'imagine qu'une voiture arrive subitement, ne nous voit pas et nous écrase. C'est terrible, je sais, mais j'aurais adoré mourir dans les bras de Pol. Maintenant, il est parti.
Il m'a quittée quand j'ai eu quinze ans, sans donner aucune raison. Il m'a juste quittée. Je devenais sans doute trop vieille pour lui, je ne sais pas, toujours utile que j'ai mis des années à m'en remettre. Aujourd'hui encore il m'arrive de rêver de lui, de nous, et de me réveiller en pleurant. Je ne l'ai jamais revu. Il m'a quittée et est parti de Paris une semaine après. Je ne sais pas où, je ne sais pas avec qui. J'ai fini par m'en remettre. Ou du moins par faire semblant de m'en être remise.

« Elle pleure pour tellement de raisons qu'elle n'a pas envie d'y penser. C'est toute sa vie qui lui revient dans la figure. Alors, pour se protéger un peu, elle se dit qu'elle pleure pour le plaisir de pleurer et c'est tout. » (Anna Gavalda.)

♫ Alexandre Desplat - Lily's theme.
28 février 2010.

Pol, mon amour.
J'ai mal. J'essaie de me convaincre que non. J'essaie de me dire que je ne t'aime plus, que je suis mieux sans toi, que je vais y arriver, mais la vérité, c'est que j'ai mal. Et ça fait cinq ans que ça dure. Cinq ans passés à attendre un signe quelconque de toi. Tous les jours sans exception je me précipite au courrier le matin pour voir s'il n'y a pas une lettre de toi. Une lettre où tu m'expliquerais pourquoi tu m'as fait ça, pourquoi tu m'as abandonnée sans explications. Une lettre où tu t'excuserais pour m'avoir fait subir ça. Si tu savais comme j'ai souffert, les premiers mois sans toi. Maintenant j'arrive à en parler. Mais ça n'a pas toujours été le cas tu sais. Au début je croyais encore que tu reviendrais. Que tu ne pourrais pas te passer de moi comme ça, pas après tout ce qu'on a vécu, pas après tout ce que tu m'as dit. Quand je me suis rendue compte que jamais plus tu ne me prendrais la main en disant, "un jour, on va se marier toi et moi, tu sais", quand j'ai réalisé ça, ça m'a fait encore plus de mal que quand tu m'as quittée. Quand j'ai réalisé ça, je me suis dit que ça y est, c'était réel, on n'était vraiment plus ensemble. À partir de ce moment, je suis devenue morte. Morte de l'intérieur. Je ne mangeais plus. Je ne parlais plus. Je ne souriais plus. Je n'essayais plus d'être jolie, ça n'aurait servi à rien, tu n'étais même pas là pour me regarder. Je n'avais plus la force de rien. Quand j'ai eu dix-sept ans, je me suis brusquement réveillée. Et pendant les deux années qui ont suivi, j'ai été en colère. Quand j'ouvrais la bouche, c'était pour crier, pour râler. J'étais révoltée que tu te sois permis de me faire ce que tu m'as fait. Je t'ai haï, pendant ces deux années. Moi qui n'avais jamais haï personne de ma vie, je m'en suis donnée à cœur joie. Je t'ai écrit des centaines et des centaines de lettres où je t'insultais. À chaque fois que j'en finissais une, je fondais en larmes et jetais la lettre à la poubelle. J'avais tout juste dix neuf ans quand j'ai fini par être fatiguée d'être agressive comme ça, et je me suis calmée. J'ai essayé de redevenir normale. J'ai recommencé à sortir. À sourire. À discuter, à rire. J'ai cru que tout allait redevenir normal. Je savais que je me mentais, je savais que c'était faux, et que j'étais toujours autant malheureuse. Mais ça me faisait du bien de croire que je ne l'étais pas. Ça me faisait du bien de prétendre que je l'étais. Maintenant, je fais comme je peux. J'ai des jours avec et des jours sans : je m'y adapte. Je ne sais même plus si j'ai envie de te revoir ou pas. Peut-être qu'un jour, quand je serai guérie, je te chercherai et on pourra devenir amis. Mais est-ce-que j'en serais vraiment capable ? Est-ce-qu'on peut être ami avec quelqu'un qu'on a tant aimé et qu'on continue d'aimer ? Je ne sais pas.
J'ai rencontré quelqu'un au début de l'année. Il s'appelle Jud, il est américain. Je n'étais pas sortie avec quelqu'un depuis que tu m'as quittée, quand j'avais quinze ans. J'ai gâché quatre années à cause de toi, tu sais. J'ai passé quatre ans à pleurer ta perte, à finir ce que tu avais commencé, c'est-à-dire me détruire. Jud me comprend. Il sait ce que tu m'as fait, il sait ce que j'ai traversé. Je lui ai raconté. Je me vois tellement dans lui. Ce petit sourire qu'il a quand il me voit, et ses yeux qui brillent quand il me regarde. J'étais pareille, quand j'étais avec toi. Moi je n'arrive pas à être avec lui comme j'étais avec toi. C'est trop dur. Je ne sais pas si je vais rester longtemps avec lui. Je pars habiter à New York avec lui, c'est vrai, mais j'ignore combien de temps ça durera. Je ne sais pas si j'en suis toujours capable, surtout après avoir passé deux si belles années avec toi.
J'imagine que tu ne penses pas à moi autant que je pense à toi. J'espère juste que tu as au moins une petite pensée pour moi tous les jours.
Ta Blue.

« J'ai décidé de détruire quelqu'un, briser une existence, massacrer un destin par hasard, et tout à fait injustement, choisir un innocent, quelqu'un qui pourrait être heureux, qui n'a pas encore été corrompu, qui croit en tout, la vie devant lui, l'espoir. Et en faire une épave dans mon genre, quelqu'un qui dort en ce moment, rêve d'amour, et d'avenir, sans se douter une seconde que je viens de décider sa perte. Et juste à cet instant, j'ai cessé de m'ennuyer. » (Lolita Pille.)

♫ Scars 45 - Hearts On Fire.
« Je sais pas ce que vous en pensez, vous trouvez que j'ai l'air d'une pute vous ? » Matty et moi rigolâmes bêtement, mais surement parce que nous avions un peu bu. Ashlynn, qui avait pourtant avalé plus de verres que Mat et moi réunies, resta très sérieuse et nous fusilla du regard. « Sympa les copines. Mon frère, bon, je m'en fous, mais vous êtes censées me soutenir ! » Matty en rajouta une couche. « Non mais Ash, ta jupe, avoue que ça fait plutôt ... une ceinture. » Ashlynn consentit à rire un peu. « On en reparlera quand tu seras sobre ma chérie. »Un ricanement s'échappa des lèvres de Matty, confirmant les paroles d'Ashlynn. J'adore ces filles. Je ne les connais pas depuis longtemps mais je sais déjà que je peux compter sur elles dans n'importes quelles situations. La première fois que j'ai rencontré Ashlynn, j'ai un peu eu l'impression que c'était la reine de l'Upper East Side. En fait, quand on apprend un peu à la connaitre, c'est vraiment une fille bizarre avec des drôles de manies (mais on s'y habitue), et aussi toute une quantité de problèmes, même si elle n'en a pas du tout l'air. Matty est une sorte de rebelle. Elle est fiancée à un jeune homme très riche et tout le monde est au courant qu'elle ne l'aime pas et qu'elle est plus intéressée par un autre bonhomme un peu moins huppé que son fiancé. J'étais en train de penser à tout ça, en les regardant se bidonner comme des ados, quand j'ai vu apparaitre Jud à l'entrée du bar, l'air de chercher quelqu'un. Surement nous. Surement moi. « B., écoute moi cette mongole, répète ce que t'as dit Ash, que Bleuenn mette au courant la France que t'es vraiment bête ! » Je souris vaguement mais je n'étais plus avec elles. Que foutait Jud ici ? Je passais une bonne soirée. Pourquoi il a fallu qu'il se ramène et me rappelle que si je sors avec lui c'est uniquement pour tirer un trait sur Pol, mon premier amour, le connard que j'aime encore ? Finalement, mes deux meilleures amies se calmèrent et cherchèrent d'où venait mon silence. Elles remarquèrent Jud à leur tour. Matty regarda Ashlynn, qui eut un grand sourire et m'annonça : « Ah oui ! Je l'ai appelé ce matin et je lui ai proposé de nous rejoindre au bar ce soir. Comme ça vous resterez tous les deux et Mat et moi on pourra aller chasser un peu ! Si ton Charles y voit aucun inconvénient, Matty. » Matty grimaça mais ne fit aucun commentaire sur ledit Charles. « En plus, c'est pas pour dire, mais aujourd'hui ça fait un an que Jud et toi êtes ensemble ... » Un an. Jamais je n'avais pas prédit ça. Et j'avais oublié d'ailleurs. J'étais partie ce matin faire du shopping avant que Jud ne soit levé, nous n'avions pas encore parlé de la journée. Je tournai mon regard vers mes copines qui me regardaient avec un air de reproche. « Ne me dis pas que tu as oublié qu'aujourd'hui c'était votre anniversaire. » Je ne répondis pas, mais Ashlynn et Matty comprirent tout de même. Jud étant le meilleur ami d'Ashlynn, ce fut elle qui s'énerva la première. « Écoute B., je sais que t'es toujours amoureuse de ton breton, d'accord ? Mais s'il te plait, tu pourrais faire un effort. Au moins ce soir. Surtout ce soir, en fait. » Au début, je ne sus pas trop quoi répondre. Au fond de moi je savais qu'elle avait raison. Et même si je crevais d'envie de me barrer en courant, je savais bien qu'il fallait que je reste ici et que je fasse comme si tout était normal quand Jud serait devant moi. Après tous les bons moments que j'ai pu passer grâce à lui, je ne pouvais pas faire ça à Jud. N'empêche. Je vis Jud s'approcher de plus en plus de nous, son sourire grandissant au fur et à mesure. Je me mis à tripoter la gourmette que je portais au poignet gauche. La gourmette de Pol, retrouvée ce matin dans un carton. Je souriai à mon "amoureux" et finis par répondre à Ashlynn : « Je t'y verrais toi. Regarde-le ! Qu'est ce que je suis censée faire ? Récemment j'ai tellement de mal avec lui que tout ce que j'arrive à faire, c'est faire comme si c'était Pol ! » Mes deux meilleures amies affichaient maintenant la même expression : des grands yeux, la bouche à moitié ouverte. « Je sais. Je sais. C'est horrible. » Ashlynn se reprit et frappa dans ses mains. « Bleuenn. Maintenant t'arrêtes, ou tu lui dis tout ce soir et vous arrêtez de vous voir, ou tu fais l'effort d'oublier Pol une bonne fois pour toute et tu te consacre à Jud. » C'en était trop. J'étais fatiguée, lassée que tout le monde me répète ça. Y compris ma propre conscience. J'explosai. « Parce que tu crois que c'est facile hein ? C'est pas compliqué pour toi, tu sais pas ce que c'est que d'aimer quelqu'un, et viens pas me parler d'Arlo, c'est pas réel ce qu'il y a entre vous ! Moi et ... » Non. Inutile de continuer. Jud était tout près. Hors de question qu'il entende quelque chose de compromettant. Et puis j'en avais assez dit. Le visage d'Ashlynn était décomposé, et je m'en voulus de lui avoir parlé d'Arlo, mais j'étais trop remontée pour m'excuser. Je sautai de mon tabouret, allai à la rencontre de Jud, le pris par la main et l'entrainai dehors sans dire au revoir à personne. Mon amoureux, quelque peu surpris, était habitué à mes sautes d'humeurs en ce moment, et il ne broncha pas. Une fois dehors, alors que je croyais que j'allais avoir droit à un interrogatoire complet, Jud me prit simplement dans ses bras. Longtemps. Ça me fit du bien. J'allai même jusqu'à me dire qu'Ashlynn avait raison. Peut-être qu'il fallait que je tire un trait sur Pol. Un trait définitif. Et que je construise quelque chose de réel avec lui.

ET HERMIONE

MISCHIEVOUS R

BLEUENN C'EST GENRE TROP COOLZ.
- BUT WHY CAN'T YOU HELP HIM?
- BECAUSE I LOVE YOU

(ps: je trouve même plus cet autre forum trop cool à nous qu'on a jamais ouvert :()

JE SAIS JE SAIS ET DIRE QUE J'HÉSITAIS AVEC CLARA COMME PRÉNOM FRANCHEMENT.
FIND YOUR LOVE C'EST ÇA ? :DD

MISCHIEVOUS R

C'EST CA OUAI :D

Il était trop biennnn I love you

MISCHIEVOUS R

MAIS CA M'ENERVE TROP DE PLUS SAVOIR L'ADRESSE :(

JADE ET MOSS I love you

NYC THIS WEEKEND!
BLEUENN, TOÉ ET TROIAN. C'est beau I love you

J'PENSE BIEN OUI I love you

MISCHIEVOUS R

JADE ET MOSS FTW. I love you

TU VA METTRE TROIAN AVEC QUI J'AI POINT DEMANDER. EN FAIT QUI VA ÊTRE TON POL. :D?

JE SAIS PAAAAS ! PARCE QUE IL FAUT UN PLUS VIEUX QU'ELLE DONC NI ED NI AARON ET VOILÀ J'HÉSITE DU COUP. J'aime bien James Franco mais personne le prend !

JAMES FRANCOOOOOOOOO.

BEN JE ME TÂTE < cutie

MISCHIEVOUS R

MAIS TON POL IL SERA FRANÇAIS? :).
EDIT: je viens de lire ton truc trop mignon oublie ma question :P I love you

OF COURSE IL EST FRANÇAIS. C'était quoi le truc trop mignon ? I love you

MISCHIEVOUS R

CE QUE T'A ECRIT DANS TA FICHE. FAIS IECH J'VOULAIS QUE POL IL SOIT DE LA FAMILLE DE ASHLYNN :P.

AHAH ET EN QUOI C'ÉTAIT MIGNON TU VEUX ? I love you

Bah, ça peut être sa femme si tu veux. (a)

MISCHIEVOUS R

C'ETAIT MIGNON C'EST TOUT :P.NON NON PAS SA FEMME NON SINON ELLE VA ÊTRE INFIDELE :P. ET CA CRAME TOUT CE QUE J'AI DEJA ECRIT SHAGASSE. ENFIN ON EN DISCUTERA :P.

SHAGASSE OH OH OH L'INSULTE.
PAS DE SOUCIS EN ON REPARLE I love you

ET DÉSOLÉE POUR CE QUE TU AVAIS PRÉVU :P

MISCHIEVOUS R

NON MAIS EN FAIT J'Y AI REPENSER FAUT QU'ON SE CHOPE POUR EN PARLER J'AI EU UNE IDEE TROP COOLZ :D.

T'ES LÀÀÀÀ ? JE VEUX SAVOIR, TES IDÉES SONT TOUJOURS TELLEMENT TROP FOLLES

T'as toujours des idées de relation folles!

Moi ? June ? :)

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