© geronimo thrill

Gabby, Gab, Gabichou, appelez bien comme vous voulez mais, épargnez-moi mon nom complet ; Gabby Baby Clayton. Baby mais, ils sont allés chercher ça où ? J'ai une tête de poupée ? Vraiment je me demande ce qui est passé par la tête de mes géniteurs quand ils ont dit ça ! Rien certainement, il faut dire que leurs cerveaux sonnent creux. Porté le nom de famille Clayton, c'est une honte, avec des parents comme ça. Ma famille se compose de ma mère, mon père, ma grand-mère et l'affreux caniche blanc qui aboi dès que le parquet grince, une fois minuit passé. Mes deux parents sont deux abrutis, comme ça c'est dit. Ma grand-mère est une sourde de la veille école qui ne peut pas s'empêcher de dire : « De mon temps... », pitoyable. Et l'affreux machin blanc, moi j'attends que quelqu'un l'écrase enfin et pourtant je suis pour la protection des animaux mais, un machin comme ça, pitié, c'est horrible ! Hors-mis ça, mes géniteurs ont décidé de me faire naître à New York et c'est bien la meilleure idée qu'ils aient eu. Depuis le quinze juin de ma naissance ( ça remonte à dix-neuf ans maintenant), je n'ai pas quitté New York et je n'en ai pas l'intention d'ailleurs. Ce qui est dingue c'est d'être née à New York alors que mes parents sont tout sauf américain, ma mère est Russe, mon père est Suisse. Ils ont emménagé sur New York deux mois avant ma naissance, avant ça, ils vivaient en France. & si je vous dis que je suis étudiante en médecine vous me croyez ? Certainement pas ! Pourtant, c'est la vérité, malgré la blondeur de mes cheveux, j'étudie la médecine, peut-être que vous avez mal jugé les blondes. Autrement, en me croisant dans la rue, vous me prendrez peut-être pour Sasha Pivovarova, enfin encore faut-il que vous la connaissiez.

Made by Freeze
Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté.

« Punaise t'es un vrai mec, Gab' ! De ton attitude jusqu'à ton prénom. ». Vêtue d'une robe courte et moulante, un sourire moqueur sur les lèvres, les cheveux au vent, la petite Gabby se moquait bien des remarques de son camarade Liam. Les prunelles plantées dans celle de son interlocuteur, abordant un petit regard malin. « Mieux vaut être une femme qui agit comme un homme ; ça prouve que je suis une femme forte. En revanche, je ne suis pas sûr que dans ton cas ce soit positif, un mec au féminin. ». Cette phrase raisonnait dans la tête du jeune homme, déstabilisé, il tenta néanmoins de reprendre les choses en mains. « Heureusement que toutes les filles ne sont pas comme toi ! Autrement je devrais me résoudre à finir avec un mec. » Un rire plus que moqueur sorti de la bouche de la jeune femme, décidément, Liam n'avait rien pour l'atteindre, elle prenait un tel plaisir à le voir tenté de garder la tête haute. « Je ne vais pas m'excuser de ne pas être une fille facile. En même temps, ça t'ouvrirais certainement les yeux sur tes véritables orientations sexuelles. » Le jeune homme avala cette remarque avec difficulté, ne comprenant pas comment une fille pouvait être aussi mauvaise et ne pas succomber à ses charmes. En réalité, Liam avait plus qu'un simple béguin pour la demoiselle mais, comment lui avouer quand elle envoyait de telles répliques en pleine figure. Ce soir-là, la demoiselle Clayton tourna les talons, victorieuse, allant profiter de sa soirée alors que lui, noyé son chagrin dans un verre d'alcool.

« Gabriel, arrête je t'en pris ! » les rires se faisaient nombreux dans la maison des McArthur alors, que le jeune Gabriel était seul avec sa petite-amie, Gabby. Enfin, seul, presque seul puisque, Liam, son frère était présent depuis environ une dizaine de seconde. Tombant nez-à-nez avec son frère, Gabriel cessa de chatouiller la jolie blonde. Liam souffla, un regard mauvais envers son frère, les dents serraient, il réussit à dire un : « Gabby, salut. » en guise de bonjour. Depuis le temps qu'il était amoureux se Gab', il avait fallu que son frère lui prenne, la seule chose qu'il voulait c'était l'amour de l'adolescente et au lieu de ça, il recevait la haine et les moqueries de la demoiselle, qui jubilait dans les bras de l'ainé McArthur. Le cadet fila dans sa chambre laissant les deux amants reprendre leurs activités. « Toujours aussi agréable ton cher frangin. » Gabriel souffla un coup, il savait très bien ce qu'avait son frangin, Gabby s'en doutait fortement aussi, il comprenait sa jalousie mais, lui ne comprenait pas à quel point il était amoureux de l'adolescente. « Lui en veut pas trop. Ce n'est pas facile pour lui et tu le sais très bien. » Un sourire aux lèvres, elle se rapprocha des lèvres de son amoureux. « Peut-être mais, je m'en fiche, c'est toi que j'aime. » Le jeune eu un beau sourire avant de joindre ses lèvres à celle de la magnifique blonde qu'il tenait dans ses bras.

« Liam qu'est-ce que tu fais ? » un regard mauvais et mesquin se dessina alors sur le visage du jeune homme, complètement ivre. « Ce que je fais ? » d'abords il le dit calmement avant de hurler dans la maison McArthur. « Je bois pauvre conne ! Parce que la seule chose que tu sais faire, c'est me faire du mal ! Toi t'es dans les bras de l'autre con ! D'ailleurs il est où celui-là encore ? » Pour la première fois, Gabby perdait face, tétanisait par la façon dont parlait Liam, par ses gestes, par cette violence qui semblait bouillir. « Il a dû aller voir ton père au bureau, il revient bientôt. » Elle avait murmuré, la fin étant surtout pour elle. S'énervant davantage, Liam jeta un vase à quelque millimètre de la tête de Gabby, cette dernière ce recroquevillant sur elle-même, affolée, apeurée. « En plus d'avoir ton amour, c'est le chouchou de papa ! » puis il ingurgita un autre verre de Rhum avant de balançait le verre vide contre le mur, juste au-dessus de Gab' volant en éclats sur la demoiselle. Elle n'osait plus dire un mot, ni bouger ayant peur de provoquer la colère du jeune homme, une nouvelle fois. Il s'abaissa et pris le visage blême entre ses mains. « Tu n'es qu'une salope et pourtant je t'aime, c'est bien pour ça que tu es un salope d'ailleurs. You're Bitch baby. Un jour tu me le paiera très cher. It's a certainty. » Il quitta la pièce, laissa l'adolescente, légèrement blessé par le verre, se morfondre dans l'angle de la pièce. Après plusieurs minutes, elle réussit à trouver le courage de se lever et de partir un courant, sans claquer la porte pour ne pas se faire remarquer, écrivant rapidement un message foireux à Gabriel, elle prenait le taxi. « J'ai dû rentrer, je te vois demain, je t'aime tellement. » Elle n'en rajouta pas plus, décidant de lui cacher la vérité ayant peur des représailles.

« Gabby, il y a quelque chose qui ne va pas ? » la demoiselle leva les yeux, n'arrivant pas à vivre comme si rien ne c'était passé il y a deux jours, elle était mal, elle n'arrivait pas à mentir à Gabriel. « Je ne peux pas te le dire mon coeur, je suis désolée. » Gabriel baissa les yeux, ne voulant pas la brusqué en insistant mais, au moins ce n'était pas à propos de lui, sinon elle lui aurait dit alors, il se contenta de la serrait fort avant de l'embrasser tendrement. Quelques heures plus tard, il s'enferma dans la salle de bain, musique à fond, ne sachant pas qu'actuellement sa petite amie était morte de trouille. Le cadet encore ivre, les parents absents, comme à leurs habitudes. Menaçant la jeune femme avec un couteau, il la guida jusqu'à sa chambre, lieu où la jeune Gabby ne donnait plus cher de sa peau. « Ne fais pas ça, Liam je t'en pris ! » Elle le suppliait, pleurant tout ce qu'elle pouvait, alors que l'adolescent menaçait toujours d'un couteau. « Et toi tu as eu pitié de moi ? » Tout ça à cause d'un amour non-réciproque et la jeune femme s'en voulait en plus de la peur elle éprouvait la culpabilité. Il la gifla avant de commençait, doucement à retirer ses vêtements. Pendant quelques secondes, qui semblèrent des heures à la jeune Clayton, elle s'était sentie mal, vulnérable, sali, mitraillé, perdue, déprimée, elle était passé" par un tas d'émotion alors que le poing de Gabriel se collait dans la figure de Liam. Son cauchemar était fini, pourtant le malaise et les larmes étaient toujours présentes.

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Parfois, il faut savoir quitter les gens que tu aimes. Mais ça ne veut pas dire que vous ne devez plus vous aimer... Parfois, il faudra être sûr que tu l’aimes plus que tu ne le penses.

Extrait de Lettre
« J'espère qu'il ira mieux, je n'ai jamais voulu ça tu sais et je me sens coupable malgré tout ce que tu me dis, je ne suis pas sûre que l'internement soit la meilleure solution mais, j'imagine que c'est la culpabilité qui me fait dire ça. J'ai appris à t'aimer, j'apprendrais certainement à t'oublier mais, la tâche est dure. Ne t'inquiète pas trop pour moi, j'y arriverais, à revivre, respirer et connaître un peu plus que ce sentiment de souffrance. Tu me manques tellement, j'ai tellement cru en notre amour et j'y crois encore. C'est affreux cette sensation d'avoir rencontré l'âme soeur trop tôt et d'être condamné à vivre seule jusqu'à la fin des temps. Je ne serais pas heureuse si je sais que tu ne l'es pas, je veux que tu refasses ta vie, fais-le pour moi, Gabriel, tu promets ? Je ne veux pas te perdre mais, si quitté tout contact avec moi est le seul moyen pour toi d'aller mieux, dis-le-moi. Notre histoire me manque, l'absence de ta présence m'est insupportable. Promets-moi qu'un jour on se reverra, s'il te plait. Je t'aime, je crois bien que c'est pour toujours. »

« Je suis ravie de l'apprendre, je veux que tu sois heureux, ne lui fait pas de mal, il te faut du temps, tout comme moi, donne-lui sa chance, donne-toi cette chance. De mon côté, rien ne va vraiment, désolé de te démoraliser, mes parents et moi, c'est la guerre, je n'ai personne dans ma vie, je commence à déconner, je descends petit à petit aux enfers, je le sais. La seule chose qui va au mieux, mon niveau scolaire. Tu ne pourras pas me sauver mais, tu peux m'achever. Je t'aime, désolé de te le dire une nouvelle fois, ça ne change pas. »

« Je sais que je ne devrais pas te parler de notre histoire, essayer d'être la prétendue meilleure amie mais, je n'oublie rien, mes sentiments sont inchangés malgré le temps. Je suis désolée. Je ne veux rien te cacher, comme quand nous étions encore ensemble, c'est bien pour cela que je te parle de cette tendance pour la drogue, j'ai peur de sombrer. Le pire est d'être lucide sur sa situation sans rien faire. Je t'aime toujours. Envie de te revoir »

« Pourquoi tu es loin de moi, nous sommes incapables de vivre l'un sans l'autre, pourquoi nous a-t-on infligé cela. Je t'aime encore, tu es le seul homme dans ma vie. »

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Si vous lisez ceci, alors cet avertissement est pour vous. Chaque mot que vous lisez de ce texte inutile est une autre seconde perdue dans votre vie. N’avez-vous rien d’autre à faire ? Votre vie est-elle si vide que, honnêtement, vous ne puissiez penser à une meilleure manière de passer ces moments ? Ou êtes-vous si impressionné par l’autorité que vous donnez votre respect et vouez votre foi à tous ceux qui s’en réclament ? Lisez-vous tout ce que vous êtes supposés lire ? Pensez-vous tout ce que vous êtes supposés penser ? Achetez-vous ce que l’on vous dit d’acheter ? Sortez de votre appartement. Allez à la rencontre du sexe opposé. Arrêtez le shopping excessif et la masturbation. Quittez votre travail. Commencez à vous battre. Prouvez que vous êtes en vie. Si vous ne revendiquez pas votre humanité, vous deviendrez une statistique. Vous êtes prévenu....

Chez les Clayton, l'ambiance était tendue, l'adolescente criant sur son père, son programme politique ne lui plaisait guère. La demoiselle était une écolo, ce n'était pas nouveau et dans la famille la politique était presque devenu un sujet tabou. Il faut dire que Monsieur Clayton était un homme politique reconnu mais, avec des manières de procéder pas très nette et dès qu'il était face à la justice, c'était sa femme qui assurait sa défense avec conviction. Le nombre de raison pour lesquelles Gabby détestait ses deux parents étaient nombreuses mais, en ce moment c'était la politique et les sorties. « Attends comment tu peux faire ça ? Tu sais que c'est illégal ce que tu fais ? Tu agis comme une vraie pourriture ! » cette scène se passait sous les yeux de la grand-mère, qui souffla et annonça. « De mon temps... » alors, qu'elle n'avait rien compris ni entendu dans la conversation tellement elle était sourde, elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase que déjà son fils lui répondait en hurlant à son oreille. « Oui, je sais, c'était pas comme ça ! Mais, c'est une autre époque ! » La veille n'ayant pas très bien compris se contente d'un hochement de la tête et du regard noir de sa petite-fille qui le reposait doucement sur son géniteur. « Je ne me laisse pas marcher sur les pieds, c'est différent. » la blondinette était exaspérée, le comportement de son père, elle décrivait d'« inqualifiable ». « C'est une jolie façon de dire que tu ne vaux pas mieux que les malfrats ! Tu cours vraiment qu'après l'argent ! C'est ton seul intérêt dans la vie ! Avec maman vous vous êtes bien trouvé. » Son père afficha un petit sourire, croyant piéger sa fille. « L'argent, c'est toi qui en profite. » Mais, l'argument était bien faible, Gabby s'empressa de le contrer.« Je n'achète pas de marque, je ne fais pas d'excès, j'ai une moto qui me sert en cas exceptionnelle, je travaille pendant mes vacances, il est vrai que tu me finances mes études mais, c'est toi qui a insisté et c'est la moindre des choses, je vis comme n'importe qui, je vis comme si nous n'avions pas autant d'argent !. » Non la demoiselle ne portait pas de haute couture, des marques hors de prix, elle n'avait pas de voiture mais, une moto qui ne lui avait pas coûté la peau des fesses, elle était aussi bourgeoise que le milieu qu'elle fréquentait, cependant, elle contrastait parfaitement, par ce fait de n'accorder que très peu d'importance à l'argent. Agacé, la jolie blonde remonta dans sa chambre, les escaliers montés quatre à quatre.

« Faut que tu m'expliques, j'ai le droit d'aller à des soirées très huppés, jusqu'à des points d'heure et je ne peux pas aller dans une simple boite de nuit ? » Elle regardait les yeux de sa mère sachant parfaitement que ce qu'elle voulait c'était qu'elle fasse partie des personnes connues et chics, la jeunesse dorée mais, ce n'était en rien dans son tempérament. Elle avait des tendances masculine, méfiante, écolo, détestant l'hypocrisie, elle était naturelle et les filles superficielles n'étaient pas sa tasse de thé, peut importe si elle était détestée, elle savait ce qu'elle valait. « Justement, « une simple boite de nuit », elle n'est pas comment dire... » la femme cherchait ses mots alors que l'adolescente avait très bien compris. « Pas assez quoi ? Chic, huppés ? Pas assez bien pour des « Clayton » Pitié ! Sous prétexte que je porte le même nom que papa et toi je dois faire partie des filles superficielles, complètement idiote et manipulatrice, qui ne compte que sur leur père et qui porte du Gucci. Je ne suis pas de celle-là maman ! » Enfilant sa veste, prenant son sac, une nouvelle fois, la demoiselle claqua la porte, ça devenait une habitude, comme cette injection dans son sang, ça devenait habituel.

COMMENT TU T'APPELLES Margot & ça suffira :)
C'EST QUOI TON ÂGE? 15 petites années , bientôt seize :p
LE GROUPE DE TON PERSO THIS BITCH DESERVED TO DIE je crois que ça devrais faire :P
COMMENT CONNAIS-TU SSAWI? EU... bonne question
QU'EN PENSES-TU? J'aime beaucoup l'intrigue, c'est vraiment ce qui m'a fait craquer (a)
POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT Si je veux d'abord ! *Sbaff* The DJ got us fallin' in love again.