SOME SINS ARE WORTH IT.
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -29%
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 ...
Voir le deal
499.99 €

(R.) Friendship never ends. Oh really?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Marin Castell
Marin Castell
Look at the stars, look how they shine for you.


Messages : 384
Date d'inscription : 18/08/2010
Crédits : Bedshaped
Avatar : Watson
Âge du personnage : dix-neuf ans

New-York
Jukebox: Ellie Goulding - Your Song
Relations:

(R.) Friendship never ends. Oh really? Vide
MessageSujet: (R.) Friendship never ends. Oh really? (R.) Friendship never ends. Oh really? EmptyMar 31 Aoû - 0:39

ft. Rainee & Bryce

Les écouteurs bien enfoncés dans les oreilles, je joggais dans les rues de New-York. Ce n'était plus vraiment dans mes habitudes de jogger -chose que je faisais tous les jours autrefois- mais je négligais un peu ma forme physique ces derniers temps. Ma mère m'avait clairement avisée que si je reprenais encore du poids, je ne pourrais plus poser pour son catalogue. C'est pourquoi je mangeais à peine ces derniers temps. Grossir? Non merci! Jogger dans New-York était plutôt difficile et ce, même très tôt le matin (c'est connu après tout, New-York ne dort jamais). Zigzaguer entre les gens n'était pas chose facile. Je gagnai le campus de Columbia quelques temps après, une douche était de mise. Ma colocataire crasseuse étant partie, j'avais la chambre pour moi seule et tant mieux. Je sortis de la douche une vingtaine de minutes plus tard et épongeai mes cheveux avec la serviette avant d'enrouler cette dernière autour de mon corps. Soudain, la balance piqua ma curiosité. Je la fixai un instant avant de monter dessus. La flèche indiqua 115 lbs. Merde. Moi qui croyais avoir atteint le 110. Frustrée, je débarquai de ce foutu pèse-personne et me dirigeai vers mon armoire désespérée de ne pas savoir quoi mettre. Pourquoi pas un minuscule short noir pour montrer mes immenses cuisses et un long pull gris pour cacher mes bourrelets? Ajoutez à cela un joli collier pour harmoniser le tout et un vernis prune qui embellit. J'étais enfin prête à sortir. Mes cheveux étaient bouclés à la Hanna Marin et Blair Waldorf aurait pu envier mes chaussures. J'empoignai mon sac Chloé et j'étais enfin prête à conquérir le monde.

En marchant dans les rues de New-York, une pensée me vint. Je me rappellai Jennibelle et toutes les méchancetés auxquelles je pensais récemment sans penser aux bonnes choses qu'elle accomplissait. Certes, elles pouvaient paraître rares à première réflexion mais Jenn avait fait de nombreuses bonnes actions assez subtiles. Par exemple, c'était toujours elle qui se souvenait de nos anniversaires en premier. Celle qui nous rappellait que nous avions tel devoir à remettre. Celle qui nous manifestait toutes sortes de petites attention du genre: un bracelet Pandora pour le plaisir, d'autres petits bracelets d'amitié avec nos prénoms dessus qu'elle avait elle-même faits. Jennibelle nous défendait lorsque nous étions seules avec elle et que nous ne la faisions pas chier. Bref, Jennibelle était une excellente amie, mais une amie qui ne se faisait pas marcher sur les pieds. J'appellai mon chauffeur tout en réfléchissant à mon idée.

Vladimir arriva devant moi en moins de deux. Comme j'étais loin de Central Park, je décidai d'emprunter la limousine familiale. Chose parfaite pour impressioner tous ces moins que rien. Nous arrivâmes plusieurs minutes plus tard ayant comme principale cause de retard le trafic New-Yorkais. Tranquillement, je me rendis vers Central Park. Une petite visite au mémorial ne me ferait pas de tort. C'était moins glauque que d'aller sur sa tombe je trouvais. Donc je déposais des fleurs et des petites pensées sur la plaque du mémorial. Il y avait plus de gens autour certes, c'est pourquoi je parlais rarement à Jennibelle. Il y avait longtemps que je ne m'étais pas recueillie dans son petit coin de Central Park. En m'asseyant sur le banc d'à côté (personne ne daignait s'y asseoir, selon eux c'était trop morbide s'asseoir à côté d'un mémorial) je sentis qu'on me dévisageais. Je posai mes Valentino sur mon nez en regardant d'un oeil méchant tout ceux qui me regardaient d'un drôle d'air. Je ne l'admettais pas souvent, mais Jenny me manquait atrocement. Parfois, lorsque j'étais seule, je pleurais en pensant à elle. En me disant que c'était injuste de la voir mourir à un si jeune âge. Elle avait tant encore à vivre! Sans rajouter que les derniers mots que je lui ai dit étaient: Screw you, Jennibelle. You're just a poor selfish bitch ! soit la première fois que j'avais daigné lui parler en face et lui dire ce que je pensais. Par la suite, elle avait disparu. J'ai longtemps cru que c'était à cause de moi, jusqu'à ce qu'on m'apprenne ce que sa petite soeur, Evan avait fait. J'ai été égoïsement contente de savoir que ce n'était même pas de ma faute, sans savoir ce que sa soeur avait pu ressentir. De toute façon, c'est de sa faute, qu'elle en subisse les conséquences.

Rainee. Je ne l'avais plus vue depuis longtemps! Même si nous étudions toutes les deux à Columbia, rares étaient les fois où nous trouvions du temps pour se voir entre amies. Je sortis mon téléphone et lui envoyai un message: Miss U bitch. Meet me at our fav sushi bar 4 lunch. luv ya. Après tout, c'était ma meilleure amie, nous DEVIONS nous voir de temps en temps. Déjeuner avec elle était le moment parfait pour papoter des nouveautés du campus et de tous les potins comme de vraies lycéennes. J'avais également entendu des choses à propos de la vie amoureuse de Rainee et je devais mettre un point sur tout cela avec elle, puisque de parfaits inconnus savaient les détails les plus croustillants de sa vie alors que sa meilleure amie les apprenaient par l'intermédiaire de ces derniers. Je passai un rapide coup de téléphone au Sushi Bar 52 lounge pour une réservation et je rappellai Vladimir pour qu'il revienne me chercher. En plus, les sushis ça ne fait pas grossir.

J'arrivai au restaurant en moins de deux, Rainee n'était pas encore là. Une serveuse asiatique vêtue d'une ravissante robe japonaise rouge me conduit à notre table et je la remerciai sèchement, attendant ma meilleure amie. Lorsque je la vis arriver, je lui fis un signe de la main et un sourire se dessina sur mon visage. Je me levai de ma chaise et me dirigeai vers Rainee en lui faisant la bise (à la française, restons chic!) et en la serrant dans mes bras. « Rainee, chérie, comment ça va? »
Revenir en haut Aller en bas
Ashlynn-Coco Emerson
Ashlynn-Coco Emerson
MISCHIEVOUS RWell you can tell Jesus that the bitch is back!


Messages : 532
Date d'inscription : 26/07/2010
Crédits : .
Avatar : .

New-York
Jukebox: Falling In love ♦ Ironik ft. Jessica Lowndes.
Relations:

(R.) Friendship never ends. Oh really? Vide
MessageSujet: Re: (R.) Friendship never ends. Oh really? (R.) Friendship never ends. Oh really? EmptyMer 1 Sep - 5:09

Friends forever? Duhh. Really!

« Je suis amoureux de toi Rainee » Je regardais Byron dans les yeux et souriait tandis que je m’apprêtais stupidement à coup sur par lui répondre que j’étais folle de lui mon réveil sonna. Je m’éveillais donc en sursautant. Je regardais autour de moi une incompréhension incroyable c’était emprise alors de moi. Après avoir observer l’ensemble des recoins de ma chambre j’eu un léger soupir et je me remis confortablement dans mon lit. C’était ce genre de rêve qui étaient totalement susceptible de me gâcher tout une belle journée ensoleillée (ou pas). J’aurais préférée et de loin me rendormir quitte à refaire un rêve semblable et des plus dérisoires mais cela m’étais complètement impossible. J’allumais donc la télé comme je le faisais chaque jour où je ne me trouvais pas à Columbia. Ces derniers temps je n’y allais pas trop car ma mère était revenue de voyage pour environ deux semaines et qu’elle voulait absolument que je passe soit disant du temps avec elle. Qu’est-ce qu’il ne fallait pas entendre franchement. Enfin je n’allais pas me faire prier pour rentrer dans mon si confortable chez moi de l’Upper East Side. De toute manière je n’avais jamais eu la moindre envie de m’inscrire à Columbia. Loin de là. Je l’avais fait dans le simple but de ne décevoir personne. Dans ma famille c’était un peu une tradition que d’étudier là-bas. Mes parents ce sont rencontrés ici et ils leurs étaient des plus inconcevable que je ne m’y rende pas après le lycée privée. Passons. Je suis certaine que le type de l’entretient à retenue ma candidature pour mon nom et non pas pour la personne que je suis ni même à ce que je serais susceptible d’apporter à cette école. Mon nom était bien tout le problème et parfois j’aurais bien aimer que tout le monde l’oublie. Ma famille était déjà bien connut de new york lorsque je n’étais pas encore née, mais après ma naissance ça n’aura été qu’un engrenage qui ne s’arrêtera certainement jamais. Mon père a acheter l’hôtel palace et disons que j’ai commencer à traîner avec Jennibelle. Jennibelle avait été une amie formidable. Le genre d’amie qu’on rêve tous un jour d’avoir. C’était l’amie parfaite qui avait toujours tout bon sur toute la ligne. C’était bien simple tout les parents rêvaient de l’avoir comme fille, tout les mecs rêvaient de sortir avec elle et toutes les filles rêvaient simplement d’être elle. Enfin cette perfection était parfois bien déroutante. J’avais toujours adorer Jenni seulement je n’en garderais certainement que de très mauvais souvenir. Lorsqu’elle m’avais insulter de trainer devant tout le lycée parce qu’elle avait appris que j’avais embrasser Presley. Lorsque par vengeance elle m’avais malencontreusement renverser son yaourt dessus. Lorsqu’elle avait tout simplement tenter de détruire ma vie juste à cause de son frère. Mon problème c’est que je n’ai jamais été du genre à me taire si facilement. J’étais bien l’une des seules du petit groupe Seven, Bryce, Jenni et Moi à être capable de lui tenir tête bien longtemps. Enfin passons.

Quelques fois il m’arrivais de me demander ce que serait ma vie aujourd’hui si Bryce et moi n’étions pas devenue amies avec Jenni. Car oui tout n’a pas toujours été ainsi. Au début il n’y avais que Bryce et moi et au fond c’était bien mieux. Seven reste l’une des meilleures rencontres de ma vie et si je n’avais pas rencontrés Jenni j’aurais manqué cette si adorable personne mais au fond sans Jenni ma vie aurait certainement été bien différente et bien mieux. J’aurais peut-être finis par être connut autrement que « la pauvre meilleure amie de la jeune fille morte ». Pathétique. Je tentais tant bien que mal de chasser de nombreuses pensées de mon esprit. Je sentais que cette journée n’allais nullement en être une bonne et c’était tout bonnement ce qui ne me donnais aucunement l’envie de bouger de mon lit. Repenser à Jennibelle, à Bryce qui était censée être ma véritable meilleure amie et à Byron c’était trop bien trop dans la même journée. Je détestais ma vie ces derniers temps c’était incroyable. Depuis que Presley m’avais rejeté et que Byron c’était montrer disons un peu trop intéresser par moi tout avait changer oui. Tout. J’étais amoureuse de Byron c’était certains mais je ne pouvais pas, non je ne devais pas l’être. Premièrement parce que l’amour ce n’était pas fait pour moi et surtout car si la situation évoluais comme avec Presley je n’irais nulle part. J’aurais voulus dire à Byron les mots qu’au fond il attendait depuis un petit moment mais c’était au dessus de mes forces je ne pouvais pas, risquer aussi impunément de me faire briser le cœur c’était trop bien trop. Je soupirais à nouveau je ne savais pas quoi faire et j’avais énormément besoin de parler, mais à qui diable pouvais-je parler ? C’était généralement à Bryce que je m’adressais lors de rares problèmes de cœur, seulement les choses avaient changer. Et un nouveau soupir un. Je me levais enfin de mon lit, attrapais mon téléphone portable au passage et descendais les longues marches de marbre blanc qui menais au hall d’entrée. Je saluais la « bonne » , irina avant de partir en direction de la cuisine, où mon petit déjeuner m’attendais déjà. Comme quoi être riche ça avais énormément d’avantages. Disons cela. Je pris donc place à table en face de ma mère qui me regardait avec un air des plus sarcastiques. Il ne manquait plus qu’elle s’y mette celle là. Ma mère avais toujours été le genre de personne capable en l’espace de quelques mots de vous mettre le morale au plus bas. Je la regardais tout en enfonçant ma cuillière dans mon bol de céréale. Parfois je me demandais comment certaines personnes pouvaient introduire du lait dans leurs céréales après tout cela rendait tellement bizarre. Enfin là n’était pas la question. Ma mère sentant mon regard de plus en plus oppressant s’écria alors. « Tu es déjà debout jeune fille, c’est un exploit ! » Touche. La garce elle ne pouvait pas s’en empêcher décidemment c’était plus fort qu’elle il fallait toujours qu’elle vienne en rajouter une couche comme si mon moral n’était pas déjà au plus bas. Screw you whore pensai-je alors. Je me contentais d’acquiescer d’un signe de tête lorsqu’elle repris de plus belle. « Qu’est-ce que tu compte faire aujourd’hui ? » Là ce fut la crise dans ma tête. Soit elle me demandais ça pour mieux contrecarrer mes plans de sortie qui était pour le moment inexistant. Soit elle le faisait tout simplement pour le plaisir de constater que sa très jeune et adorable fille ne faisais rien et que par conséquent elle pouvais lui demander de sortir avec elle aujourd’hui. Plutôt mourir. Le déjeuner c’étais déjà bien plus que ce que je ne pouvais supporter. Il fallait absolument que je trouve une idée quelques chose et vite pour me sortir de ce pétrin. Ce n’était pas gagner.

Non ça n’était pas gagner jusqu’à ce que le vibreur incessant de mon téléphone portable se mette à retentir. Sauver par le gong comme qui dirais. Bryce. Tiens donc la résurrection de geezus en direct live. Miss U bitch. Meet me at our fav sushi bar 4 lunch. luv ya. J’en voulais vraiment à Bryce mais au fond il se trouvait que c’était la seule et unique solution. Je pris le temps de lui répondre sous l’œil interrogateurs de ma mère qui trouvais certainement cela des plus inconvenables que je préfère répondre à mon téléphone plutôt qu’à elle qui venais de me poser une question soit disant des plus intéressantes. I’m on my way. Luv ya 2. répondis-je tout en lâcha ma cuillère laissant ainsi un bruit métallique se faire entendre. Je regardais a mère en souriant légèrement. Diabolique et satisfaite. Certes. « Je vais voir Bryce, d’ailleurs tu m’excuseras mais je dois aller me préparer, ce ne serais pas des plus convenues de la faire attendre ! » déclarais-je. Bien qu’au fond, faire attendre la jeune fille lui ferais les pieds et les mains, mais peut-importe je ne supporterais pas ma mère encore bien longtemps. Celle-ci me répondit d’ailleurs par un rayonnant sourire. C’était fou ce que ma mère appréciait Bryce parfois j’avais presque l’impression qu’elle la considérait plus comme sa propre fille que moi-même. Passons. Je gravis à nouveau les marches menant à ma chambre et m’arrêtais au passage dans mon immense dressing histoire de trouver quoi mettre. De toute manière ça n’avais pas réellement d’importance enfin. J’empoignais alors les premiers vêtements qui venaient à moi. Un short en jean ainsi qu’un débardeur bleu marine et une sorte de « veste » sans manche grise. Je partis en direction de la salle de bain. Une poignée de minutes plus tard j’en sortis enroulées de ma serviette. Je me préparais doucement mais surement. Une fois fin prête j’enfilais mes chaussures jimmy choo bleu marine (oui il fallait savoir que j’ai toujours toutes mes paires de chaussures assorties à mes vêtements c’est une de mes caractéristique) et empoignais mon sac miu miu. Je descendis et pris donc l’ascenseur. Comme d’habitude l’ensemble des employés de l’hôtel me saluèrent. Ce qu’ils pouvaient tous être aussi lèche-cul les uns que les autres. Tout ça parce que j’étais la fille du propriétaire il fallait qu’ils en fassent des tonnes enfin peut-importe je trouvais ça ridicule mais ce n’était pas demain la veille que tout allais changer.

Je saluais mon chauffeur en lui indiquant l’endroit où nous nous rendions. En chemin et vue les nombreux habituels bouchons de la ville, j’eus largement le temps de penser. Non pas à Byron ou Jennibelle, mais plutôt à Bryce. Ma meilleure amie. C’était étrange mais la joie que me procurais une rencontre avec elle avait disparue depuis un moment. En réalité cela faisait une éternité que je ne l’avais pas réellement vue histoire de discuter de nos vies respectives. Après tout c’était un peu elle qui l’avais voulut enfin. Je soupirais. Au bout d’une bonne vingtaine de minutes j’arrivais enfin au Sushi Bar 52 lounge. C’était un endroit où nous avions l’habitude de nous rendre autrefois lorsque nous , nous comportions comme de réels meilleures amies. Je pénétrais donc dans le Sushi bar, cherchant du regard la chevelure brune de Bryce. C’était plutôt les regards des autres clients que j’attirais mais peut-importe. J’avais l’habitude qu’on me regarde ou plutôt qu’on me dévisage. Au bout de quelques instants je la reconnus enfin. Après tout il n’y avais qu’elle pour me faire un signe de la main, de la sorte. Je pris une profonde inspiration et m’avançais donc vers elle. Ce repas allait certainement être des plus explosifs. Enfin passons. Je la regardais sourire et au fond j’étais bien trop contrariée pour pouvoir sourire à mon tour. Elle me fit la bise et me serra dans ses bras. Elle n’avais visiblement pas compris que ce n’était plus le monde des bisounours et que je lui en voulait pour plusieurs raisons évidentes. Je pris donc place en face d’elle et celle-ci s’écria toute contente. « Rainee, chérie, comment ça va? ». Ce n’est rien prend sur toi me répétais-je alors. J’affichais un sourire alors faussement hypocrite et déclarais à mon tour. « Et bien écoute très bien. Et toi, Bryce chérie ?! » Je ne savais pas si elle allait comprendre l’ironie de ma phrase mais peut importe c’était dit. Je la regardais attentivement adossée à ma chaise. Je repris très vite. « Drop it, pourquoi est-ce que tu m’a donner rendez-vous au juste ? » J’étais peu commode j’en suis consciente mais après tout je n’allais pas non plus agir comme si c’était normal. Car non depuis la mort de Jenni rien n’était normal.
Revenir en haut Aller en bas
Marin Castell
Marin Castell
Look at the stars, look how they shine for you.


Messages : 384
Date d'inscription : 18/08/2010
Crédits : Bedshaped
Avatar : Watson
Âge du personnage : dix-neuf ans

New-York
Jukebox: Ellie Goulding - Your Song
Relations:

(R.) Friendship never ends. Oh really? Vide
MessageSujet: Re: (R.) Friendship never ends. Oh really? (R.) Friendship never ends. Oh really? EmptyVen 3 Sep - 4:15

JE TE RÉPOND DEMAIN MA LITTLE J. I love you
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé



(R.) Friendship never ends. Oh really? Vide
MessageSujet: Re: (R.) Friendship never ends. Oh really? (R.) Friendship never ends. Oh really? Empty

Revenir en haut Aller en bas

(R.) Friendship never ends. Oh really?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SOME SINS ARE WORTH IT. :: HORS-JEU :: ♛ CORBEILLE :: SOME SINS ARE WORTH IT - PREMIÈRE VERSION-