| Sujet: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 13:33 | |
| © maath. | Bonjour, je m'appelle Charlie, enfin, mon nom complet est : Léonard Charlie Locompte. Mais je n'aime pas qu'on m'appelle par mon premier prénom, ça fait un peu top De Vinci. Du coup, tout le monde m'appelle Charlie ou Cha' ou même parfois : La chocolaterie. Je sais, c'est très drôle. Je suis né il y a 25 années de cela en Italie d'un père d'origine franco-italiennes et d'une mère italienne, d'où mon prénom français et mon nom italien. Comme vous pouvez le voir, je suis en fauteuil roulant, je suis paralysé des jambes, vous en serez plus plus bas. Je suis fils unique et je suis né avec une cuillère en diamant dans la bouche. Tout le monde sait que le diamant est plus cher que l'or. Je ne travaille pas, je n'en ai pas spécialement besoin ... mais ce n'est pas parce que j'ai les moyens de me payer ce que je veux jusqu'à la fin de mes jours que je ne cherche pas de travail, non ! Je veux vire comme les autres, juste, je n'ai rien trouvé de bien pour l'instant. Et pour terminer, je serais joué par HAYDEN CHRISTENSEN. |
COMMENT TU T'APPELLES Maàth. C'EST QUOI TON ÂGE? 14ans LE GROUPE DE TON PERSO SAD, BUT I DIDN'T REALLY KNOW HER COMMENT CONNAIS-TU SSAWI bazzart QU'EN PENSES-TU? Magnifique ** POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT the DJ got us fallin'in love again |
|
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 13:33 | |
|
Je suis né avec trois cuillères dans la bouche, une en argent, une en or et une en diamant, je suppose que vous voyez où je veux en venir. Je suis né dans une famille très riche. En effet, mon père était le directeur d’une chaîne d’hôtel très connue dans les pays qui entouraient l’Italie. Et ces hôtels, il fallait pouvoir se les payer. Seules les familles riches pouvaient y passer quelques nuits. J’ai vécu dans un palace, dans une prison dorée et je ne m‘en suis jamais plains. C’est vrai, en même temps, je n’avais rien à plaindre a part les autres. D’ailleurs, je n‘ai jamais compris mes parents ont décidés de m’envoyer dans une école publique, nous avions largement les moyens de payer des cours particulier, bon, ce n‘était pas comme si j‘étais une superstar, mais j’appréhendais un peu la réaction de mes camarades de classe. Arriver en limousine devant le portail fraichement repeint de la grille, ça ne faisait pas mauvais genre … mais ça déclenchait de la jalousie. Et dieu seul sait ce que nous sommes capable de faire par jalousie. A l’école, j’adoptais une attitude supérieure sans m’en rendre compte. Je crois que l’argent m’est monté à la tête, je me prenais pour un dieu, il fallait aussi dire que j‘étais le plus riche de l’école. Certains me regardaient avec mépris, d’autres avec envie. Je comprenais ces derniers, qui ne m‘enviait pas ? Etant petit, j’étais persuadé que l’argent faisait le bonheur, et je pensais que je serais riche jusqu'à la fin des temps. Seulement, un coup dur frappa les hôtels « Locompte » Mon père ne cessait d’augmenter les prix des chambres, aveuglé par l’argent, il en voulait toujours plus. Mais à force de toujours augmenter, plus personne ne venait. Il s’en suit la faillite de pratiquement tous les hôtels de la ligne. Je me retrouvais avec rien, mes parents avec de gros soucis d’argents, les impôts, les dettes, tout ça. Terminé les limousines devant le portail de l’école, nous étions obligés de la vendre pour payer les lourdes factures de la maison. Au fur et à mesure, je devenais comme tous ces gens : banals, pauvre, sans intérêt. Ca a été le coup dur. A partir de ce moment là, ma vie est devenue un enfer. A l’école, tout le monde me malmenait, du statut de l’envié, j’étais devenu le bouc-émissaire de l’école, le souffre-douleur, le punching-ball, le gars sur qui on passait ses nerfs. Et je n’avais plus rien à dire, plus aucuns arguments, j’étais devenu comme eux. Mais heureusement, Mon père réussit à se refaire une fortune en vendant des objets de valeur aux enchères. C’était fou l’argent que les gens étaient prêt à dépenser pour un simple vase en diamant. Avec tout ça, mon père put faire reconstruire quelques hôtels partout en Italie et en France et réussit donc à se refaire une fortune. Nous étions de nouveau riches pour mon plus grand bonheur. J’étais de nouveau fier et je me sentais de nouveau supérieur. J’allais pouvoir refaire ma loi à l’école. Mes mais camarade ne l’entendaient pas de cette oreille. Malgré ma nouvelle richesse, ils continuaient de me malmener en utilisant l’attaque mentale. Insultes en tout genre fusaient dans la cour de récréation. C’est là que je me rendis compte que l’argent ne faisait pas le bonheur. Enfant mais pas stupide. Je tentais de me faire des amis mais rein à faire, on me fuyait comme la peste. Je fus malheureux une grosse partie de mon enfance. Je parlais de la situation à mes parents en leur demandant si on pouvait déménager car je n’en pouvais vraiment plus de cette vie. Ma mère comprenait et proposa d’aller s’installer dans a maison à New York. J’étais bien entendu d’accord, en plus, je ne connaissais New York que de nom. Mais mon père, lui, ne l’était pas. Il voulait rester en Italie pour diriger sa ligne d’hôtel. Ma mère et moi partirent donc en direction de New York, dans un jet privé payé par mon père. Ce dernier venait nous rendre visite un week-end sur deux. A New York, je pu commencer une nouvelle vie et éviter de reproduire les erreurs de l’ancienne.
Je ne cachais pas ma richesse aux autres, mais je n’en jouais pas non plus et je me plaçais au même grade que tout le monde ; Surtout que je n’étais plus le seul riche du lycée, à New York, beaucoup de familles avaient pas mal d’argents, mais ce n’était pas forcement ceux avec qui je trainais. Je ne reproduisais pas les mêmes erreurs qu’a Rome. Au lycée, j’eu soudain une passion pour le sport, le basketball en particulier. Je passais mon temps à m’entrainer chez moi et j’étais l’un des meilleurs joueurs du lycée. Et cette passion ne me quitta pas à l’université Harvard, oui, j’étais riche et brillant. Seulement, quelque chose allait changer ma vie et allait briser mon rêve de devenir un basketteur connu et reconnu. Je me trouvais dans une rue de Brooklyn avec quelques amis, on fumait quelques cigarettes et buvait quelques cannettes de bières, rien de bien grave. J’avais 19 ans et je me souviendrais de ce jour toute ma vie. Nous nous apprêtions à nous séparer pour rentrer chez nous quand je voulus traverser, je ne fis pas attention et je traversais sans regarder ni à droite, ni à gauche. Je me trouvais un milieu de la route quand j’entendis un klaxonnement de voiture, je me retournais vivement et vis une voiture foncer vers moi à toute allure. Après, plus rien, le noir complet.
Je ré-ouvris les yeux 4 mois plus tard, je sortais d’un coma naturel et je me sentais un peu sonné. Mon corps était relié à des machines par des centaines de fils. Mes parents étaient à mon chevet, les yeux baignés de larme, ils semblaient profondément soulagement de me voir vivant. Je tentais de me redresser mais je ne sentais plus mes jambes. « Qu’est qui se passe ? » lançais-je dans l’incompréhension. « Mon chéri. Tu es dans le coma depuis 4 mois, tu t’es fait renversé par une voiture, c’est un miracle que tu sois toujours en vie. » « Pourquoi je ne sens plus mes jambes ? » Mes parents adoptèrent une mine grave et baissèrent la tête, je ne comprenais pas tout, j’étais encore un peu dans les vapes. Mon père finit par dire : « Tu es paralysé Charlie, tu ne retrouveras jamais l’usage de tes jambes » « Ne dit pas ça » le coupa ma mère « Peut être qu’il pourra en retrouver l’usage ! » « Le docteur a dit qu’il avait une chance sur dix ! » « C’est toujours mieux que rien » Cette annonce me fit l’effet d’une bombe. Je ne retrouverais jamais l’usage de mes jambes, jamais plus je ne pourrais marcher, je devrais vivre assis sur une chaise roulante ? Je ne pourrais plus jamais jouer au basketball. Je ne pu me retenir de verser quelques larmes. Je ne pourrais jamais supporter de rester dans une même position toute ma vie. Je demandais à être seul, pour pouvoir digérer cette nouvelle qui allait changer ma vie. Dire que si j‘avais bien appliqué la procédure de sécurité, rien de tout cela ne serait arrivé. Quelques jours plus tard, je quittais l’hôpital, dans mon fauteuil roulant.
J’ai mis beaucoup de temps à me faire à l’idée que j’avais définitivement perdu l’usage de mes jambes, j’avais perdu tout espoir de pouvoir remarcher un jour, c’était tout bonnement impossible même si ma mère n’était pas de cet avis. Mais maintenant, je me suis habitué à ma chaise et je réussis à vivre normalement. Ce qui me gêne, c’est plutôt les regards des autres en me voyant rouler, je ne veux pas de pitié.
♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦
Dernière édition par L. Charlie Locompte le Lun 30 Aoû - 14:50, édité 1 fois |
|
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 14:32 | |
| WELCOME |
|
Messages : 695 Date d'inscription : 20/02/2010 Crédits : White Rabbit ; Tumblr Avatar : MSmith. Âge du personnage : 25 yo.
New-York Jukebox: Murray Gold, Doomsday Relations:
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 14:46 | |
| Bienvenue; j'aime beaucoup le début de ta fiche |
|
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 14:52 | |
| - Leonard Sheridan a écrit:
- WELCOME
merci :D
- Seven Rosebury a écrit:
- Bienvenue; j'aime beaucoup le début de ta fiche
Moi j'aime pas xD Mais merci
Sinon j'ai terminé ** Désolé, cette fiche pue >
|
|
Messages : 695 Date d'inscription : 20/02/2010 Crédits : White Rabbit ; Tumblr Avatar : MSmith. Âge du personnage : 25 yo.
New-York Jukebox: Murray Gold, Doomsday Relations:
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 14:56 | |
| Désolée (a) Je lis des fiches trop couls aujourd'hui, la tienne est super émouvante Validé (a) Bon jeu! |
|
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die Lun 30 Aoû - 14:57 | |
| Oh bah merci |
|
| Sujet: Re: CHARLIE ♦ make me wanna die | |
|
|
|