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I said who are you? Don't matter who you are [Rainee]

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I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] Vide
MessageSujet: I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] EmptyDim 29 Aoû - 17:49

I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] 100829044913464508

Manhattan s’illumine aux moments ou le soleil se couche. Ses magasins de luxes aux vitrines luminescentes, la multitude de couleurs s’échappant des taxis et des voitures de polices. La ville s’éveille, la musique des chanteurs de rues, des théâtres, et surtout ses énergumènes aux costumes pailletés qui divaguent aux coins des boulevards. Manhattan et ses structures gigantesques, ses arbres majestueux, son prestige et ses touristes aussi. Un véritable petit paradis pour un scientifique dans l’âme comme Leonard. Lui qui n’a jamais vraiment pris le temps de découvrir, de tisser des liens avec ces semblables, New-York était parfait. Du haut de ses 21 ans, il était rempli d’expériences, de voyages, de connaissances, mais si vide de contacts humains. L’an passé, durant une de ses années sabbatiques qu’il s’était accordé, Lèn a passé quelques semaines au Pérou, s’immisçant dans la jungle amazonienne. L’occasion pour lui de faire face à la réalité de la vie, sans technologie avancée, ni apparence démoniaque paré de Gucci et de Chanel. La barrière de la langue le subjugua. Lui qui connaissait tant de dialectes différents, ne pouvait pas communiquer avec ces quelques habitants coupé du reste du monde, leur langage lui était totalement inconnu. C’est véritablement a ce moment la, qu’il a apprit a mettre de côté ses connaissances, ses petites manies ou encore son incapacité a gérer des situations nouvelles. Oui, il avait vraiment évolué ses derniers mois, a lui de se prouver qu’il peut continuer sur cette voie. Enfin, en ce donnant tout de même quelques limites.

En cette fin de journée, Lèn avait donc pris la direction du Starbucks. Véritable machine a fric, cette chaine multinationale de café restait tout de même au top niveau café d’exception. Sans oublié sa grande popularité auprès d’êtres humains de sa tranche d’âge. Le Starbucks café est un établissement agréable, de grande baie-vitrée attire le regard des passants sur son intérieur branché et douillé. De grandes banquettes couleurs clairs entourent les tables, quelques moelleux fauteuil se trouvent plus loin, près de pile de magasines en tout genre, passant du New-York Times à Instyle. Les serveurs sont tout de suite repérables, avec leur casquette verte et leur t-shirt blanc marqué au sigle de la marque. Lèn se commanda un grand café et un muffin, avant de s’installer sur une des banquettes libres. Il alluma son mac, qu’il importe pratiquement toujours avec lui, et décida de poursuivre le visionnage de ce film qu’il avait découvert, en faisant des recherches sur Manhattan. C’était une sorte de documentaire en noir et blanc tourné en 1921. Le film, issu d’une collaboration entre Charles Sheeler un peintre et le photographe Paul Strand. En réalité, c’était plus une succession de plusieurs plans de structures métallique de bâtiment, d’usine et de bateaux. Les grattes ciel, les ferry-boats, tout ceci faisait penser à une glorification de l’urbanisation, et une relation entre la photographie et le cinéma avec ces prises de vues complexes. Lèn était fasciné par ce film, a tel point peut être, qu’il ne se rendait plus compte de ce qui se passait autour de lui.

Un évènement, pourtant, le ramènera très vite à la réalité. Car a Manhattan, quelques visages ne laisse pas indifférent, pour plusieurs raisons : son nom, sa beauté ou bien encore sa relation avec Jennibelle Leavenworth. Imaginez-vous remplir les trois raisons à la fois ? C’est ce que vit tout les jours Rainee-Ainsley Emerson. Cette dernière passa la porte du Starbucks, au bout de quelques secondes des murmures se faisaient déjà entendre dans les conversations à son propos. La demoiselle n’en avait que faire, elle passa commande, et s’accouda au comptoir, elle ne comptait pas rester. Fruit du hasard, ou intentionnellement, un jeune homme renversa son café latté sur la jupe immaculée de la New-Yorkaise, redoublant les ragots et les attentions. Lèn lui porta enfin attention, analysant en quelques secondes la situation, il lança a la jeune fille.

« Je peux t’assurer que je ne serais pas celui qui twittera sur ce qui vient de t’arriver. Tiens, j’ai toujours sur moi un détachant hyperpuissant, tu en veux ? »


Il ne rigolait absolument pas, il avait vraiment sur lui ce genre de produit. C’est assez surréaliste, et pourtant c’est la pure vérité. Il est comme ça Lèn : toujours prêt pour la pire des situations. Son offre était totalement gentille, toutefois le jeune homme ne savait pas a qui il avait à faire, le regard qu’elle lui lança n’engageait rien de bon …
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Ashlynn-Coco Emerson
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MISCHIEVOUS RWell you can tell Jesus that the bitch is back!


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MessageSujet: Re: I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] I said who are you? Don't matter who you are [Rainee] EmptyMar 31 Aoû - 16:35

Well now i'm THAT bitch.


Rainee se trouvait comme à son habitude avec Briseis plus connut par la communauté de New-York comme étant Queen B ou bien Bryce. Sa meilleure amie. Du moins celle qui était censée être sa réelle meilleure amie. Seulement voilà depuis quelques temps les relations que Rainee entretenait avec Bryce , Seven ou n'importe qui à vrai dire étaient conflictuelle. Elle ne savait pas bien pourquoi mais elle n’était réellement pas d’humeur à avoir des fréquentations. Bryce devenait de plus en plus superficielle et incroyablement culottée pour le coup cette dernière était entrain de faire des reproches à Rainee concernant la relation qu’elle entretenait avec Presley et ce n’était vraiment pas un bon moment. De toute manière lorsqu’il s’agissait de Presley ou Byron ce n’était jamais le bon moment. « Screw you B. Je me suis pas déplacée juste pour t’entendre me dire des choses pareil. » avait-elle alors déclarer à sa meilleure amie avant d’attraper son sac à main miu miu. Bryce n’avait même pas chercher à l’arrêter et au fond ce n’était pas plus mal ainsi. Qu’elle se mêle un peu de sa vie avant de critiquer celle des autres. C’était la réflexion que se faisait Rainee tout en déboulant l’avenue à grande enjambée. Elle avait passer une mauvaise semaine. Une mauvaise journée . Elle était par conséquent d’humeur des plus massacrantes. Il fallait bien avouer qu’énerver Rainee c’était un peu comme tenter le diable. C’était chercher à faire en sorte que ce soit la fin du monde bien plus tôt. Elle serait bien rentrée chez elle mais au fond elle ne pouvait absolument pas. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que sa mère était rentrée comme par enchantement de ses vacances à saint-barthélémy et qu’elle n’avait aucune minuscule envie de la voir. Parfois les gens se demandait pourquoi Rainee agissait de la sorte. Elle aurait très bien pu être une de ces filles riches certes mais adorables seulement en regardant l’état de sa famille en profondeur on comprenait un peu mieux les choses. Son père était un idiot qui trompait sa mère à la première occasion sauf que sa mère était bien trop aveugle pour s’en rendre compte. Sa mère quant à elle, n’était autre qu’une femme aigri et gonflante. Le simple fait de savoir qu’elle serait obliger de la supporter au dîner ce soir la rendait malade. Stupide sentiment envers sa propre famille certes mais elle n’y pouvait rien parfois elle préférait quand ils ne l’apellaient jamais, qu’ils n’étaient pas chez eux et qu’ils se contentaient de lui laisser tout un tas de frique sur sa carte bleu. La vie était bien plus simple ainsi. Elle soupira alors. La jeune fille avait bien besoin d’un milkshake à la vanille. Aussi idiot que cela puisse paraître c’était bien l’une des seules choses qui avait la capacité de la calmer dans des moments aussi critiques que celui-ci.

Elle prit donc la direction du Starbucks où elle se rendait très régulièrement. En poussant la porte d’entrée du Starbucks elle prit une grande inspiration. Au bruit de ses talons qui claquaient délicatement sur le sol tout les regards se posèrent soudainement sur elle. S’aurait pu être déconcertant pour certaines personnes mais Rainee avait toujours eut l’habitude d’attirée l’attention ainsi. Elle se contentait juste de ne plus réellement y prêter une grande attention. Du temps où Jennibelle était encore vivante les gens la conaissait déjà et agissait déjà ainsi , à la différence prêt que depuis la disparition de la jeune fille les regards et chuchotement se faisait de plus en plus intense. Qu’ils la regardent et parlent tous d’elle si c’était la seule occupation qui pouvait agayer leurs foutues vie. Au fond ça lui était bien égal qu’on la déteste, c’était devenue une certaine habitude. Elle arriva au comptoir et commanda donc son milkshake. Elle attendit quelques minutes et sortie son blackberry de son sac à main. Elle y consulta ses mails et reçu par ailleurs un certains message des plus alarmants. « On t’a déjà dit que toute trahison se paye un jour ? Coucher avec le grand frère de sa meilleure amie, c’est très mal Rain’. J.» Son sang ne fit qu’un tour et elle regarda autour d’elle légèrement inquiète. C’était ce genre de messages anonymes qui avaient le don de la faire flipper. Enfin elle se retourna et essaya de ne pas y penser quand soudainement le pire arriva. Un jeune homme renversa son café latté sur elle. A cet instant précis l’ensemble du starbucks se fit des plus silencieux attendant la réaction de la jeune fille qui n’allait pas tarder à imploser. « Oh mon dieu Rainee je suis désolée ! » S’écria alors le jeune homme tout en attrapant de nombreuses serviettes en papier histoire de tenter de rattraper le coup. Elle le repoussa et s’écria. « Dammit ! Mais comment est-ce qu’on peut être stupide. Tu veux un conseil dégage ! MAINTENANT ! » . Le jeune homme ne se fit pas prier et détala sans plus attendre. Après tout si il tenait à la vie il le valait mieux. Alors qu’elle regardait sa jupe tout en chuchotant des insultes une personne s’approcha d’elle et lui adressa la parole. « Je peux t’assurer que je ne serais pas celui qui twittera sur ce qui vient de t’arriver. Tiens, j’ai toujours sur moi un détachant hyperpuissant, tu en veux ? » Pourquoi est-ce qu’il lui parlait en fait ? Elle le regarda de haut en bas. Si il se moquait d’elle il était bien loin de savoir à qui il s’adressait car Rainee ne rigolait presque jamais et encore moins avec des personnes qu’elle ne conaissait guère. « Excuse-moi on se connait ? » déclara-t-elle alors en le regardant légèrement de travers. Le pauvre lui proposait simplement son aide mais bon cette histoire de détachant hyperpuissant c’était plutôt louche. «T’es quoi au juste Marry Poppins ? Aller bouge je suis pas d’humeur à supporter les blagues puériles d’un type que je ne connais même pas !» Finit-elle alors par dire tout en reportant soudainement l’attention sur sa jupe. Sa mère allait la tuer c’était certains, tant pis. Le plus étonnant dans l’histoire c’était que le jeune homme qui venait de lui adresser la parole ne semblait pas retourner à sa table comme elle l’aurait prédit. Il ne tenait définitivement pas à sa vie.
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