© SHINEDOWN.

Me voilà, ici présente devant vous, sous vos yeux : Melle Kingsley Phemen. De mon vrai nom Phemen Soshanna Kingsley Leonhard. Kingsley était le nom de famille de mon père et Leonhard, le nom de jeune fille de ma mère, mes paternels ont tenu à ce qu'apparaissent les deux sur mon acte de naissance. Ma venue au monde qui s'est faite au crépuscule d'un certain vingt-trois octobre au sein d'une clinique privée au plein coeur de Paris. Oui Paris, la ville lumière, la capitale de la mode, la ville des tourtereaux et célèbre pour sa gastronomie. Cependant je ne restais pas longtemps sur le sol parisien, car bientôt ma génitrice m'emmena dans un manoir familial à Versailles. Et ce n'était pas encore finit, de la France à New-York, j'ai beaucoup voyagé. Née d'une union cosmopolite, j'ai autant de sang britannique que français, et bien qu'anglais d'origine, Père n'en était pas moins un fou de l'Hexagone. Je vécu tout de même en sur le territoire français jusqu'à mes sept ans, assez tard pour me souvenir de cette époque, d'où mon petit accent français, la french touch. Puis, direction les îles britanniques, mère et moi posions nos valises dans un hôtel particulier dans le calme de la ville de Bath, tandis que père travaillait à Londres. Mes deux patronymes Kingsley, comme Alice Kingsley de Alice's Adventures in Wonderland, mon oeuvre favorite ; et Leonhard, représentent tous deux un duo familles influentes de la noblesse franco-britannique. Et de cette alliance, donna une belle famille formée par trois enfants. Il y eu tout d'abord Ruben, l'aîné, vint ensuite Solomon et pour finir en beauté ce joyeux trio, moi-même, plus communément surnommée par mes proches Effy et Phée pour les amis. Cependant que je retournais en France pour faire mes études à la Sorbonne, et remportant le premier prix d'un concours, gagnais un an d'études à dans la plus prestigieuse des cités universitaires, à savoir Oxford. A présent j'ai rejoins l'Upper East Side, à New-York City pour poursuivre mes études en histoire. Et pour interpréter ce rôle, je demande la charmante et délicieuse demoiselle Clémence Poesy.

Homme de lettre ou homme de science ? Femme d'arts

Par la fenêtre, Phemen regardait ses frères jouer en contrebas, nous étions en décembre et ils se fabriquaient une forteresse de glace dans le jardin d'hiver de la maisonnée. A cette époque, la famille Kingsley vivait encore sur le sol francophone, possédant une belle résidence dans la ville de Versailles. C'était un vieux manoir victorien qui appartenait depuis des générations et des générations à la famille de Mme Kingsley, originairement Leonhard. Cette résidence avait eue la chance et le privilège de passer de main en main en restant toujours dans la famille Leonhard. Elle avait été construite pour que la famille soit proche de la cour et de la royauté de l'époque qui avait élu domicile au château de Versailles. Durant la révolution française, la demeure avait été vendue à l'Etat, avant d'être rachetée par un membre de la famille. D'ailleurs, les armoiries de la famille sont toujours gravés dans la pierre, cependant que la bâtisse ai subit de nombreuses modifications architecturales, sans pour autant ne jamais perdre de son style baroque-renaissance. En les temps actuels, le manoir était habité par Mme Leonhard, son époux ainsi que leurs trois progénitures. Bien que Mr Kingsley était fort souvent en déplacement, ce dernier s'efforçait de revenir au foyer dès qu'il le pouvait, en plus des week-ends. Or ce week-end ci, la voiture de Maximilien Kingsley, grand trader qui partage sa vie entre son travail à la City de Londres, et sa famille qui elle vit de l'autre côté de la Manche, conciliant difficilement sa vie professionnelle et familiale, à la fois d'époux et de père et j'irais même jusqu'à dire de pères au pluriel, étant père trois fois. Ce n'était pas la première fois que Monsieur manquait à l'appel, et c'était même de plus en plus fréquent en avançant dans le temps. Madame elle, ne disait rien. Et personne ne pouvait percer sa pensée. Isoire Kingsley Leonhard, une grande femme, aussi imposante qu'impénétrable. Elle avait longtemps été la grande prêtresse de la mode française, rédactrice en chef du magazine le plus en vogue elle s'était cependant arrêtée pour s'occuper de ses enfants. Et habitait seule la grande demeure de Versailles, Monsieur l'y rejoignant occasionnellement. Or à chacune de ses occasions, c'était la grande fête, Madame demandait aux domestiques, car la famille avait bien entendu des domestiques, de préparer un grand repas, « le plus grand que tu n’as jamais préparé Louison » répétait-elle à chaque fois. Et chaque fois, la domestique devait se surpasser encore et encore. On devinait au ton de Madame l'enthousiasme et la joie qui régnait en elle à chaque arrivée de Monsieur. Et chacune de ses arrivées était toujours une surprise, parfois il arrivait le vendredi dans plus tôt dans l'après-midi, sans ne prévenir personne, ou rentrait à l'improviste un mardi pour une journée seulement. Les autres fois, on savait que Monsieur rentrerait dans la journée ou dans le week-end, mais jamais quelle jour ni à quelle heure, ce qui faisait à la fois durer le suspense et l'attente mais aussi l'excitation et l'envie. Chaque retour de Monsieur était comme la venue du Père Noël, et ce autant au sens propre qu'au sens figuré. C'était chaque fois une grande célébration, la joie dans toutes la maison, les éclats de rires qui traversaient les murs, il ramenait à chaque fois présents et cadeaux pour femme, enfants et aussi domestiques. On faisait un grand festin et jouait toute la nuit, ainsi autant ces instants étaient courts et brefs, parfois même écourtés plus tôt que prévu par la sonnerie intempestive d'un téléphone ou un message électronique. Madame respirait la bonne humeur, et tout devait être grandiose, spectaculaire, parfait, impeccable et irréprochable pour l'arrivée de Monsieur, que même les domestiques s'en réjouissaient d'avance, car c'était aussi jour de fête pour eux. Mais Monsieur se faisait aussi attendre, combien de fois les enfants, Phemen chacun sur les genoux de sa mère et ses deux frères à côtés, patientaient toute le nuit durant, à la lueur des bougies, le cœur battant d'entendre la voiture de Monsieur, et combien de fois tous étaient tombés morts de fatigue dans les doux bras de Morphée après cette vaine nuit blanche. Paradoxalement, qu'est-ce que c'était délicieux quand Monsieur rentrait tard au plein milieu de la nuit, à l'improviste, et rejoignait en silence le lit de son épouse, pour qu'au matin les enfants, discrètement avertis par les domestiques débarquent dans la chambre conjugale n'en croyant par leurs yeux et découvrant avec surprise Monsieur leur père, sautaient de joie et d'euphorie. Mais pas ce jour là, non. Aujourd'hui, les deux garçons, les aînés de la famille, jouent dehors sous le regard maternel et protecteur de leur mère depuis l'escalier extérieur, menant à la porte d'entrée principale du manoir. Tandis que pendant ce temps, dans sa chambre, seule et silencieuse, Phemen les regarde rire et s'amuser depuis le carreau glacé.

Car Phemen est malade, oui. Outre ses insomnies constantes, témoignant d'une profonde peur de la mort, la belle est bel et bien malade. Une maladie qui s'est déclarée dès son plus jeune âge et qu'avec les technologies actuelles d'aujourd'hui il est même possible de déceler avant la naissance du bébé, par un prélèvement dans le placenta. Mais qu'importe. La belle n'a pas le droit de sortir, elle a interdiction formelle de sortir de l'enceinte de la maison. Elle ne peut même pas sortir prendre l'air sur le balcon, ni se promener dans l'immense étendue de verdure et de feuillus de la propriété. Sa santé est bien trop fragile pour cela, elle n'a quasiment pas de défenses humanitaires et tomberait très vite gravement malade, ce qui l'affaiblirait terriblement jusqu'à lui être peut-être fatal, telle une pneumonie pour exemple concret. Et c'est la raison pour laquelle, du haut de la fenêtre de sa chambrée, la blondinette semble si pensive et triste, constamment songeuse elle reste très discrète, silencieuse et solitaire. De temps en temps, un petit rictus triste convient de se dessiner sur ses lèvres fines. Seul son père parvient à la faire sourire jusqu'aux dents et à lâcher son aussi délicieux que rare éclat de rire léger et cristallin. Pour sûr, la petite souffre de sa situation, de son isolement forcé, elle rêve de se balader dans les champs fleuris de mai, de cabanes dans les arbres avec ses frères, de cueillette par la rosée humide et fraîche du matin, de courir pied-nu sur les pavés des rues sous une pluie torrentielle ... Et elle continuer de rêver, mais ne peut pas. Les rêves sont son seul et éternel échappatoire, alors elle rêve à toute heure et de tous temps, il suffit qu'elle se poste devant sa fenêtre, qu'elle regarde le ciel ou le paysage et ça y est, c'est partit elle s'évade, elle n'est plus malade, elle est une fille quoi de plus normale, peut-être même aventurière, un peu trop casse-cou aussi, mais peur l'importe, c'est un rêve, tout est possible, et c'est son rêve, c'est elle qui l'érige. Et pourtant elle n'est pas pour autant jalouse de ses frères aînés. D’ailleurs, comment pourrait’ elle bien l’être ? Comment leur en vouloir d’être plein de vigueur ? Ce sont ses frères, elle les aime plus que tout au monde, et ils ne lui rendent bien. Mais pour en revenir à la malade, pour passer le temps, la petite n'a alors trouvé comme autre occupation que lire, dévorant ses premiers grands classiques dès son enfance, ayant ainsi acquis une grande culture littéraire et de ce fait, historique et peut-être même philosophique.

Et pour cette raison, la raison de sa maladie, et pour une équité totale entre les frères et la sœur, question de solidarité, toute la petite troupe est mené au même régime, les cours non pas par correspondance, mieux, à domicile. Ils sont donnés par un précepteur qui vient tous les jours de la semaine même les week-ends, excepté ceux où Monsieur est rentré. Dans ce cas, c'est Monsieur lui-même qui prend la relève et donne les leçons. Un précepteur pour les trois enfants, rejoignant ainsi la liste des domestiques de la maison, comprenant un majordome Stanislas et une gouvernante, Louison comme cité plus haut. Or, arrivé à un certain âge, l'écart de programme pour les différents âges est trop grand pour que les programmes d'études soient généralisés. En effet, entre l'aînée et la dernière-née, pas moins de quatre années les sépare, et trois avec le cadet. Il fallut donc, personnaliser chaque cours à chacun, et en ce cas, un seul précepteur ne suffisait plus à la tâche. Ainsi, chaque enfant eu son précepteur particulier, ou sa préceptrice particulière, et ces derniers changeaient plus ou moins chaque année. Et en ce qui concerne les garçons, tout du moins Ruben et possible Solomon, il y eu histoires avec la préceptrice. Dans le cas de Phemen cela n'aurait pu être possible, déjà les précepteurs qu'elle avait étaient tous beaucoup trop âgé pour elle, de plus elle n'avait vraiment pas la tête à cela. Mais des trois, Phemen était bien la plus studieuse et sérieuse de la famille, bien que Solomon et Ruben soient très forts et bon élèves aussi. Seulement ayant baignée depuis toute petite dans la bibliothèque, et pour cause n'ayant d'autres occupations, elle se passionnait d'apprendre et était bien meilleure à elle seule que ses deux frères réunis, bien qu'eux avaient déjà le rang d'excellents élèves de grandes et prestigieuses écoles. Autrement dit, Phemen était un petit génie, et la fierté de son père.

Pourtant, cette petite exception à la parité que le couple tenait tant à conserver entre la sœur malade et ses frères sains ne vint jamais obscurcir les relations qu'entretenaient Ruben et Solomon avec Phemen. Elle était malade, elle était automatiquement plus chouchoutée si je puis dire par leur père dès qu'il était là, et même en l'absence de celui-ci, les deux garçons s'occupaient beaucoup d'elle. Essayant tant bien que mal de combler l'absence de leur paternel et de le remplacer en quelque-sorte même si c'est un bien grand mot car jamais au grand jamais on ne peut remplacer la place d'un père, ni d'aucune personne dans le coeur de quelqu'un. Et surtout dans le coeur de Phemen, petite fleur-bleue, hypersensible, émotive, mélancolique, nostalgique et idéaliste. Car des trois héritiers, Phemen était bien celle qui souffrait le plus de l'absence de Monsieur son père, de part déjà sa maladie et son isolement. Madame sa mère elle, était de plus quelqu'un de très distante et intouchable, elle aimait sa fille, mais cependant d'une bien peu commune manière. Et tout au fond de son être, une par d'elle même l'a détestait, la haïssait même, elle en était jalouse, l'enviait. Car à chaque arrivée de son époux, elle avait l'impression que Phemen lui volait son mari. Car autant Monsieur était quelqu'un de très avare et sans scrupules dans son travail, autant outre son qu'il est charmé de la France profonde, en particulier le vin, le climat et c'est le pays où il trouva la femme de sa vie, son épouse pour l'éternité. Oui car comme toute bonne famille conservatrice et traditionnelle de la noblesse aristocratique, il est de mise tout comme de vouvoyer ses parents et de les appeler Père et Mère comme le fond quotidiennement et respectivement Ruben, Solomon et Phemen, d'être de fervents catholiques pratiquants. Et pour en revenir à Monsieur, autant est-il dévoué, amoureux, attentionné et attentif au sein de sa petite famille. Et fidèle au principe d'Œdipe, le père et la fille conservent une relation privilégiée. D'où le sentiment plus ou moins refoulé d'animosité de Madame envers sa fille, et l'énorme vide que subit cette dernière à chaque départ de Monsieur son père qu'elle chérit et affectionne tant.

Les années passaient et se ressemblaient de plus en plus, jusqu’à en perdre le fil du temps. Mr Kingsley visitait de moins en moins sa petite famille, prétextant le travail et le trajet. Il en vint à ne venir qu’une fois par mois, jusqu’à ne venir que pour les fêtes puis plus du tout. Le dernier souvenir de fête ayant réunit la famille au complet de Phemen, ce fut il y a de cela cinq ans, pendant la saison de l’automne, saison préférée de Phemen qui adore regarder un ciel gris nuageux et aussi opaque que sombre et brumeux. Durant les vacances de la Toussaint, Phemen adorait littéralement la fête d’Halloween justement, allez savoir pourquoi. A cette époque, la famille s’était déjà rapprochée. En effet, depuis les sept ans de Phemen, Madame lassée d’attendre son époux, pris les rennes et déménagea meubles et biens autant que domestiques et enfants avec elle afin de rejoindre celui à qui elle avait juré fidélité et amour pour l’éternité de l’autre côté de l’Atlantique, ou plutôt de la Manche. Quittant ainsi le manoir Leonhard de Versailles, pour l’hôtel particulier Kingsley de Bath. Certes, la femme aurait grandement préférée être au plus près de son époux, ors ce dernier prétextant qu’il n’en pouvait être autrement et que de résider à Londres même, la capitale britannique, révélait de l’impossible. Pourquoi ? Encore un mystère une fois de plus, mais qu’importe. La famille était plus proche en terme de distance et cela n’arrangea point au grand damne de Madame les relations dans la famille elle-même. Monsieur bien sûr commença à leur rendre visite, puis tout comme en France mais le processus accéléré, il vint de moins en moins, jusqu’à plus du tout une fois encore. Ors cette fois-ci, Madame abandonna, elle reprit du service également, s’ennuyant en Angleterre où elle n’avait plus ses amies avec qui elle aimait papoter dans son salon et siroter une tasse de tisane, de feuilles à infusions. Elle avait tout quittée pour son mari, et voyait bien que le capitaine avait depuis longtemps abandonné le navire, mais qu’elle ne s’en rendait alors compte que maintenant. La femme du capitaine pris alors son gilet, un canot de sauvetage et s’en alla tout autant. Elle reprit du service, ne se sentant bonne à rien, rien que bonne à élever des mioches, inutile et sans aucune reconnaissance, mal-aimé. Elle postula, et son prestigieux passé lui procura un poste en temps qu’il ne faut pour le dire. Elle aussi avait une vie, une existence qu’elle voulait vivre et profiter tant qu’elle en avait encore le temps. Elle se mit à travailler, à être absente, à boire, à sortir, à danser, à fréquenter les soirées chics etc. Il est même plus que probable qu’elle ai eu plusieurs amants, mais c’est une autre histoire. Oui, revenons aux derniers temps encore heureux au sein du foyer Kingsley Leonhard. C’était par une froide journée de novembre, un vent glacial soufflait, la neige n’était pas encore là, mais elle n’allait pas tarder plus longtemps. Une des dernières journées où les jardins sont recouverts de feuilles jaunâtres et rougeâtres. Il avait été acheté pour cette occasion un traîneau et deux cerfs, chose bien étrange étant donné que la neige n’était encore point là. Mais on connaît tous les riches et leurs caprices, ce ne sont pas des conformités émises par la société qui vont leur empêcher ce qu’ils peuvent s’offrir en usant du portefeuille. Et ce fut la dernière journée de Monsieur avec femme et enfants. La surprise était en réalité pour Phemen, une idée de son père bien évidemment, et quelle idée, bien que son anniversaire est était passé, d’où le rôle de la surprise. Certes, Monsieur était toujours présent lors de l’anniversaire de ses enfants, il les aimait bien plus que sa femme. Présent physiquement ou bien virtuellement, il était toujours là. Ses enfants primordiaient de tout, même de son épouse. D’ailleurs, si cela se trouve être un mariage arrangé, d’affaire ou promis d’avance, cela ne devrait ne nous étonner que guère, entre nobles familles traditionnelles et conservatrices… C’était une des rares fois que Phemen sortait de l’enceinte de leur maison, certes elle avait bien du sortir pendant le déménagement, ors depuis leur installation à Bath, elle n’en était jamais sortie. Et elle en souffrait beaucoup, se sentir confinée ainsi, telle une véritable prison dorée. Elle rêvait surtout de pouvoir profiter de l’immensité d’hectares de verdures et de forêt qui s’offraient à ses yeux et jouaient d’un excellent terrain de golf, le sport favorite de son père, dont elle aurait fantasmée partager ne serait-ce qu’une partie. Il y avait bien un petit jardin, le Jardin d’Hiver, disposé sous une verrière au cœur de la maison, aménagé spécialement, mais l’air ne pouvait y être aussi frais et pur que dehors. Ainsi donc, Monsieur, arrivant incognito, surpris la chair de sa chair, et l’emmena avec ses deux frères, faire une balade en traîneau, tirés par deux grands et forts rennes, sur l’herbe qui coulissait sous les feuilles mortes. Et c’était bien le plus beau cadeau et le plus merveilleux jour de la vie de Phemen qu’elle n’oublierait jamais. En plein hiver, l’action aurait bien évidemment était d’un impossible burlesque, les feuilles mortes étaient donc un excellent support et une formidable résolution. Prise au dépourvue, Madame jalouse et devenue aussi méprisante que méprisable, était bel et bien la seule que cette journée ne réjouit pas.

Vous avez forcément passé un moment seul avec Jennibelle Leavenworth, si vous étiez son ami(e) –ou son ennemi. Racontez-nous en quatre cent mots au moins une anecdote concernant votre lien avec elle.

COMMENT TU T'APPELLES? figarine.
C'EST QUOI TON ÂGE? celui de mes artères
LE GROUPE DE TON PERSO?
COMMENT CONNAIS-TU SSAWI? Bazzart
QU'EN PENSES-TU? Il a l'air d'avoir un bon potentiel et la configuration esthétique est superbe
POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT: The DJ got us fallin' in love again