Voila une activité qui ne devrait pas manquer de vous attirer vers des rumeurs encore, personnellement je n’en ai cure mais puisqu’il faut en passer par là, autant le faire dans la bonne humeur. Mon patronyme Rochfield me vient tout simplement de mon paternel, comme les trois quart de la population humaine. Un nom de famille qui porte loin la lignée de mes origines américano-britannique. Tout le monde à pour habitude de me surnommer « Bells », une appellation qui vient tout droit de mon prénom d’origine Campbell. Nom fort masculin, je vous l’accorde mais lorsque le médecin se trompe très nettement sur le sexe d’un fœtus il faut bien s’y faire et bien que cette différence de sexe soit faite, cela n’a pas vraiment enlevé le sourire de mes parents. Mon second prénom Catherine je le dois à la figure maternelle tout simplement. J’ai donc pointé le bout de mon nez un vingt et un décembre mille neuf centre quatre vingt dix à la clinique de Brooklyn, une date à laquelle la présence du paradis à sonnée sa cloche puisque ma mère est décédée quelques heures après ma naissance. Vous l’aurez donc compris, je suis issue d’une famille monoparentale et je n’ai jamais manqué de rien tout comme ma soeur ainée - que tout clair la dessus. L’existence n’étant pas donné je bosse de temps en temps au New York Times en écrivant des dépêches sur les divers évènements culturels, ce n’est pas toujours facile mais ça aide dans le domaine de l’expérience et cela finance une partie des études. Ces derniers vous mèneront sans doute sur les miennes, à savoir les arts dramatiques. S’il y a bien une chose pour laquelle les gens connaissent mon identité via un certain site internet, c’est tout simplement parce qu’on me surnomme l’amnésique. A croire qu’avoir la mémoire brumée par la brume amuse la cours de récréation de certaines personnes. Si je ressemble à Dianna Agron ? Peut être bien ? C’est ainsi et on ne changera pas le monde, alors maintenant que votre curiosité est assouvie - ou pas - je mets un point final à la conversation.