| | MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] | |
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| Sujet: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:11 | |
| © Cristalline | Mes parents n’ont pas joué dans la simplicité vis-à-vis de mon prénom. Ils ont même décidé de m’attribuer un prénom à rallonge, un truc bien chiant, que je ne savais toujours pas écrire pour mes six ans : Maëlys-Keth Bronwyn. Cependant, on me surnomme la plupart du temps de blondasse non je n’affectionne pas tellement ce raccourci, ou encore sexy bitch que j’aime encore moins, malgré que ça me ressemble légérement. J’ai exactement un grand frère et c’est tout. Je suis très proche de ce dernier et nous avons une relation fusionnelle qui en agace certains. Sinon pour tout vous avouer, je suis née à Las Vegas le 18mai1987. Si vous voulez savoir un peu mon caractère, et bien je suis jalouse, légèrement folle et carrément emmerdante !! J’étudie en doit pour éventuellement devenir avocate ou notaire. Je devrais certainement rajouter que j'ai perdu ma mère il y a trois ans à présent et ce fut une terrible épreuve à passer étant donné que j'étais très proche de cette dernière. Heureusement que mon grand-frère et mon père était là pour moi à ce moment là, pas sûre que je m'en serais sortie. une dernière chose, il faut savoir que je n'en parle que très rarement, même mes amis les plus proches ne sont pas forcément au courant (ou du moins on en parle pas, je ne contrôle pas encore tout à fait mes émotions concernant ce sujet). Pour finir, en beauté évidemment, j’interprète –merveilleusement bien- la parfaite et sublime amber heard. |
COMMENT TU T'APPELLES (pseudo ou prénom au choix). Chloé. plus connue sous greesy up ou encore GREESYJUNGLE et puis perverse pour les trèès intimes. C'EST QUOI TON ÂGE? MON ÂGE C'EST DIX HUIT ANS CHOU. LE GROUPE DE TON PERSO J'hésite beaucoup justement, j'ai du mal à savoir où Maëlys irait la mieux. Enfin je pense que ma première idée est la bonne, donc je dirais THIS BITCH DESERVED TO DIE (ou à la rigueur JENNI-WHO? OH! THE DEAD GIRL! ) COMMENT CONNAIS-TU SSAWI? Déjà parce que Junie la killeuse elle m'en avait parlé, et j'ai vu son ouverture grâce à bazzart. QU'EN PENSES-TU? J'en pense que ça va trouer le string d'sa grand-mère. POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT The DJ got us fallin' in love again
Dernière édition par Maëlys-Keth Bronwyn le Lun 30 Aoû - 13:17, édité 9 fois |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:12 | |
| a window to the past. (c) Nessaleth
« Heure du décès 15 : 09 » Le verdict venait de tomber. Les chirurgiens éteignirent les machines qui gardaient encore en vie madame Bronwyn, ils se reculèrent du corps, ils venaient tant bien que mal d'essayer de sauver la vie d'une femme, une femme qui souffrait d'un cancer qui s'était développé il y a trois ans de ça et qui avait atteint un degré phénoménal. Cela faisait un mois que madame Bronwyn, la mère de Maëlys et Rodrigue étaient à l'hôpital et son cas ne cessait de s'aggraver. Les médecins ne pouvaient se prononcer, son cœur pouvait s'arrêter d'une minute à l'autre, la famille était au courant, mais Maëlys ne l'acceptait pas, elle ne pouvait pas comprendre, elle ne pouvait pas concevoir la vie sans sa mère, elle était tellement pour elle, à ses yeux, c'était la femme la plus courageuse, la plus aimante, la plus charmante, c'était sa mère et personne ne pouvait la lui prendre, pas aussi vite. Maëlys n'avait que dix-neuf ans, elle était encore une enfant, malgré que physiquement elle était parfaitement bien formé, elle faisait femme, mais elle ne l'était pas encore. Cette nouvelle était bien trop dure, bien trop choquante à ses yeux. Un chirurgien s'approcha de la famille dans le couloir, il avait la lourde tâche de leur apprendre le décès de leur membre de leur famille. Cela faisait après tout parti de son métier, les joies d'une naissance, d'une réussite au bloc tout comme la défaite, la mort, il se devait de l'accepter et de le faire accepter de la famille, des amis et du reste. Il venait d'apprendre la nouvelle à la famille, il avait exactement mentionné que sa patiente « n'avait pas été assez résistante pour l'opération, qu'elle était trop faible » il avait ajouté que « son dernier mot, avant ce long silence avait été Maëlys ». « NOOON NOOON NOOOOOOOOON » Inconsolable, la voix de Maëlys résonna dans l'étage entier. C'était fini, elle ne se rappelait même plus ce qu'elle lui avait dit en dernier, elle regrettait, il y avait tellement de choses que Maëlys ne lui avait pas dit, tellement de tendresse à lui faire part, c'était fini, cela faisait trois ans que madame Bronwyn combattait cette maladie, mais aujourd'hui, elle avait abandonné, elle n'avait sans doute plus la force, plus l'envie très certainement. « C'est impossible, c'était une battante, vous l'avez tué ! » Le père de Maëlys, en larme lui aussi, prit sa fille dans ses bras, il la serra le plus fort qu'il pouvait, il souffrait autant qu'elle, le lendemain, ils allaient fêter leur vingt ans de mariage, mais elle ne sera plus là, la journée allait être terriblement dur. Le chirurgien s'excusa de nouveau, il n'avait pas commis de faute médicale, c'était le court de la vie de cette femme, elle avait voulu se faire opérer avec tous les risques que cette opération engendrait, elle était prête à partir, mais ce qu'elle avait légèrement oublié c'était sa famille, qui elle n'était pas prête, pas encore, pas maintenant. Le chirurgien, laissa la famille dans le couloir, Rodrigue, le fils était parti s'isoler, cette nouvelle l'avait là-encore perturbé. Et pourtant, ce n'était pas le genre de gars à pleurer pour un oui ou un non, mais là il était question de sa mère, il formait une parfaite famille tous les quatre et cet incident vint tout bouleverser. « Je veux la voir, s'il vous plaît laissez-moi la voir ! » Le père de la jeune femme resta silencieux, il n'avait pas le courage de voir ce cadavre qui était y'a encore deux heures en vie, le corps de sa femme, il n'était pas prêt, il ne le serra certainement jamais. Maëlys, très proche de son frère, alla le chercher et ensemble, entrèrent dans la chambre de leur mère, une infirmière ferma la porte derrière eux et les laissa en « famille ». Ils étaient tous les deux sans voix ; Maëlys s'approcha et lui prit la main, sa main était déjà bien froide et son visage bien blanc. Ses enfants qui l'avaient toujours connu si joyeuse, malgré la maladie, elle avait toujours su cacher sa douleur, ses craintes et sa peur, elle était partie la tête haute et ça on ne pouvait pas lui enlever. Rodrigue, se mit derrière Maëlys et la prit par la taille. Ils étaient tous les deux dans le même état, la vie était parfois très injuste et parfois même trop courte : leur mère avait à peine cinquante ans. Les minutes passèrent, cela faisait maintenant plus d'une heure que leur mère avait quitté leur monde, ce monde et espérons qu'elle soit partie dans un monde meilleur, où elle sera reconnue pour sa loyauté, son courage et sa beauté. « Maëlys, on doit y aller, les chirurgiens ont besoin de la salle... » Le frère de la jeune femme la prit à son tour dans ses bras, ses larmes coulaient sur son t-shirt, ils sortirent enfin de la salle, laissant leur mère seul face à ses médecins. Ils retrouvèrent leur père, qui avait dû remplir tout un tas de papier concernant le don des organes, etc. Il prit ses deux enfants sous les bras et appela un taxi. La route fut longue, très longue et les journées qui ont suivi la mort de madame Bronwyn aussi, elles furent très longue et sans fin. Cela fait plus de deux ans que cette femme est morte, le deuil de la famille est enfin terminé, Maëlys comme son frère ont réussis à remonter cette pente, ce ne fut pas tout à fait évident, mais ensemble comme on dit, on est plus fort. A présent, Maëlys n'en parle pas et depuis ce jour, la jeune femme n'a plus confiance en la médecine et pourtant, elle a fait des miracles, pour son père par exemple, il y a quelques mois, il est passé à côté de la mort lors d'un accident de voiture, mais il s'en est sorti indemne, grâce aux soins des chirurgiens et des nombreuses opérations qu'il a subi. Mais Maëlys n'a toujours pas accepté le fait de perdre sa mère sur la table d'opération. Cette douleur lui restera certainement à tout jamais. ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ (c) Psychozee « Mademoiselle Bronwyn récité moi l'article 123.2 s'il vous plaît » Maëlys se trouvait à présent dans l'amphithéâtre de la faculté de droit où elle s'était inscrite l'année dernière pour éventuellement devenir avocate ou bien notaire (malgré qu'à la sortie, elle était consciente qu'elle allait subir du raciste sexiste. Mais ce n'est pas ce genre de sélection qui allait repousser la jeune femme et bien au contraire, elle était plus que tout décidée à allait loin, parce que ce métier lui tenait réellement à cœur depuis déjà toute petite.) Cependant, la belle blonde avait eu son bac dans la poche sans foutre vraiment grand-chose des trois années de lycée et se retrouvait à présent devant un sacré problème : le travail. En effet, Maëlys ne savait pas vraiment ce que ça signifiait et surtout ne savait pas l'appliquer -pas évident quand on n'a jamais foutu quelque chose de sa vie (c'était à peine si avant son bac elle a sorti ses cours pour les relire !!) De ce fait, elle est la hantise des professeurs et à chaque début de cours ils ne la loupent jamais. Si y'a une question piège, une question sur le travail à faire, sur une leçon à apprendre c'est pour sa pomme bien sûr ! « putain mais de quoi il me parle je croyais que ça s'arrêtait à vingt articles moi ?! » chuchota-t-elle. Non mais c'est vrai quoi, depuis quand un professeur venait t'attaquer sur un petit détail qui avait été dit la veille ? Et encore, ce n'était même pas sûr que cette loi soit dans celle à apprendre, mais étant donné que Maëlys n'avait rien appris, elle n'en savait rien et elle était bien embêtée pour tout dire. Elle regarda alors de gauche à droite, pas de chance, elle était mal entourée aujourd'hui, à sa droite figurait un gars encore plus shooté qu'elle paraît parfois et il dormait profondément sur sa table, c'est à peine s'il ne ronflait pas ! A sa gauche, c'était encore pire. L'intello de l'amphi, de la fac entière même, celle qui n'a pas de vie sociale, mais qui récolte les meilleures notes et les meilleurs sourires des professeurs. La faux-cul de service aussi, qui est prête à tout pour te descendre sans culpabilité et qui ne t'aidera jamais en cas de difficulté majeure et je vous parle même pas quand on doit faire des groupes, bref passons. C'est tout de même cette même fille qui envoya le premier pic dans la figure de Maëlys : « C'est balo dis moi, tu vas encore te faire virer de cours, comme c'est do(...)ommage. » Maëlys la fusilla du regard. Putain mais quelle salope cette nana, elle devrait plutôt se remettre en question sur son statut plutôt que de venir critiquer celui des autres et surtout celui de Maëlys, elle était tombée sur la mauvaise personne et elle allait en payer les frais. Sans même baisser le ton -ranafoutre que le professeur l'entende- Maëlys se tourna sur le côté face à cette pauvre fille et lui balança ces quatre vérités (enfin pas toute sinon elle en aurait eu pour la journée !) Maëlys avait fait en sorte que les trois rangées du dessus et celle du dessous aussi l'ai bien entendu, pour encore plus ridiculiser cette fille. Non mais oh, elle allait savoir à quelle sauce se manger Maëlys. « LA FERME TOI, C'EST PAS MOI QUI EST ENCORE VIERGE ET QUI M'HABILLE COMME MA GRAND-MÈRE et encore même ma grand-mère elle oserait pas ! » Fière de son coup, Maëlys recolla son dos sur son siège et senti rougir Jeanne (oui elle s'appelait Jeanne) à côté d'elle. Un sourire vainqueur se dessina sur son visage. Elle avait eu sa vengeance, elle était plutôt contente d'elle, elle allait à présent passer à autre chose « Pardon vous avez dit quoi, je n'entend pas bien d'ici.. » Oh merde, elle l'avait oublié celui-là. Euh comment dire... Maëlys en avait aucune idée, elle allait faire du hasard, après tout ça pourrait peut-être passer, elle avait souvenir d'avoir entendu ça la semaine dernière sortant de la bouche de ce professeur, qui sait, il allait peut-être même la féliciter. Quoi que, il ne fallait pas trop en attendre de ce vieillard quand même, parce que pour tout vous dire, même Jeanne il ne la félicitait jamais alors Maêlys encore moins si vous voyez ce que je veux dire. « Les époux se doivent mutuellement respect, fidélité, secours, assistance. » La salle explosa de rire. Ils avaient l'habitude des boulettes de la jeune femme, elle se faisait interroger à chaque début de cours et c'était une catastrophe à chaque fois. Mais ce jour-là, ça avait l'air d'être plus qu'une catastrophe, parce que même le professeur qui fait toujours la gueule et ne lâche jamais un sourire, se mit à rire et ne pouvait se retenir. Oui en d'autres termes il se foutait littéralement de la gueule de Maëlys, comme le reste de la salle, mais ça ne lui faisait ni chaud ni froid, elle s'en foutait royalement, qu'ils continuent, pendant ce temps, les minutes défilaient et elle allait bientôt pouvoir se retrouver devant une assiette de pâte carbonara. Il reprit enfin son sérieux et enfonça la jeune femme (pour changer) « Mademoiselle, vous ferez un bon prêtre, mais renoncez immédiatement au droit si vous continuez sur ce chemin » Encore un fou rire général. Putain mais ils étaient donc tous aussi cons que le professeur ? Maëlys sourit bêtement, tout ce qu'elle voulait était de ne pas être virée du cours encore une fois, elle avait déjà payé les frais plus d'une fois et j'ose vous dire les dommages qu'elle avait dû endurer. Elle ne répondit pas, pourtant ce n'est pas l'envie qui lui en empêcha, mais plutôt sa raison. Le professeur enchaîna aussitôt « rien que pour ça je ne te vire pas de cours, tu nous feras toujours rire !! » ouuuuuf. Maëlys acquiesça, oui oui s'il était content c'était le principal. Pour la jeune femme, le but était de rester en cours et elle avait de nouveau gagné. Pas sûr que la prochaine fois ça passe, mais disons qu'elle pourra toujours réessayer. C'est quand même pas gagné pour qu'elle ait sa première année de droit... ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ (c) FOOLISH PLEASURE « JE VEUX SORTIR DE LA BORDEL MAËLYS ! » Andreas et Maëlys avait pris un logement ensemble pour faire leurs études étant donné qu'ils étaient au même endroit -comme de par hasard ! Andreas considérait sa colocataire comme sa meilleure amie (et plus si affinité). Pour tout dire ces deux-là se connaissent depuis le collège et ont tout de suite très vite sympathisé ; pour le meilleur comme pour le pire et surtout pour le pire. Non, non ils ne sont pas mariés et ne le seront certainement jamais (ou vraiment en cas de force majeure) mais disons qu'ils ne cessent de se taquiner, de se chercher, quand c'est pas l'un c'est l'autre et ayant un fort caractère l'un comme l'autre et bien l'entente est parfois électrique, voire très électrique, comme ce lundi matin. Il était dix heures, par chance ils n'avaient pas cours les lundis, ainsi ils pouvaient dessaouler tranquille. Seulement, Andreas avait décidé de faire chier la jeune femme et celle-ci comptait bien prendre sa vengeance. Elle était sur le point de se maquiller (une étape importante dans sa journée à ne pas louper) et celui-ci s'était emparé de son rouge à lèvre fétiche, qu'elle voulait mettre aujourd'hui. Du coup, comme elle savait que Andreas avait un rendez-vous dans à peine un quart d’heure, elle avait fermé la porte de l’appartement à clef et les avait planqué (non je ne vous dirais pas ou). Il ne pouvait plus s’échapper, à part qu’il saute par la fenêtre du quatrième étage, mais franchement, l’arrivée ne serait pas très belle, voire plutôt tragique pour le jeune homme. Fière de son coup –comme beaucoup (trop) de fois- Maëlys lui répliqua un sourire aux lèvres : « ET MOI JE VEUX MON ROUGE A LÈVRE IMMÉDIATEMENT ! » S'il n'avait pas compris le compromis, il devait vraiment être con -pour rester poli. Non franchement ça se voyait gros comme une maison, le chantage chez Maëlys ça faisait partie de sa vie tout simplement. C'était une façon de s'en sortir dans pas mal de situations des plus embarrassantes, alors même si la méthode n'était pas la plus recommandées et la mieux vue, elle s'en foutait royalement (vous remarquerez qu'elle se fout de pas mal de choses bref). Elle passa devant son colocataire, elle le frôla du bout de son épaule droite. Ils étaient tous les deux dans le salon et vu leur état, ils n'étaient pas près de céder, que ce soit Andreas ou Maëlys. « VAS CREVER DANS LE CABANON » Effectivement, il avait bien compris le truc, mais ne l'acceptait pas, c'était bien trop facile. Maëlys arqua un sourcil, d'accord elle voulait à tout prix son rouge à lèvre, mais bon, il voulait à tout prix son rendez-vous aussi, ils étaient donc égaux, c'est bien là le problème. Ils se réjouissaient tous les deux de leur plan, putain mais qu'est-ce qu'ils avaient l'air nié, regardez-les à se chercher sans même céder. Ah non, se serait bien trop simple de céder si vite, il fallait faire languir son partenaire. De toute manière, tout le monde était au courant, toute cette histoire allait finir sous l'oreiller. Ben oui, soyons réalistes, deux meilleurs amis dans un même appartement étant célibataire tous les deux (ou pas d'ailleurs) font des choses pas très catholique. Le pire dans l'histoire c'est qu'ils ne le cachent pas. Ils ne veulent pas se mettre ensemble parce que c'est impossible selon eux et surtout parce qu'ils veulent garder cette relation, cette complicité hors norme et cette amusement sans cesse : en gros pour ceux qui n'ont toujours pas compris, ils sont en relation libres, quand ils ont envie, ils couchent ensemble, ils s'embrassent, ils se font des caresses, bref des trucs de couples normaux, mais derrière ça, ils vont tous les deux voir ailleurs et se considèrent de célibataire. Ben écoutez, je ne vois pas le problème, ni l'un ni l'autre n'est fidèle en amour, alors leur point de vue est plutôt pas mal et puis de toute manière, venez leur dire un truc sur leur relation et je pense que vous ne serez pas déçus du voyage. « TU PEUX D'ORES ET DÉJÀ ANNULER TON RENDEZ-VOUS ALORS ! » Oui c'était une grande sadique, mais pas autant que lui, il était imbattable dans son genre. C'était un vrai petit vicieux, manipulateur et séducteur, mais ça, Maëlys l'avait compris depuis un bail et ne se faisait plus avoir, ou du moins beaucoup moins qu'au début. Ensemble, c'est le vrai duo catastrophe, dans le sens où ils font toutes les conneries possibles et inimaginables. Certes ça avait commencé par des petites bêtises de collégien, mais plus ils prenaient en année, plus c'était de pire en pire, on ne sait toujours pas jusqu'où ça va aller, mais ça commence à devenir plutôt dangereux. D'ailleurs, ils ne comptent plus le nombre de fois que la police les a arrêtés pour état d'ivresse redoutable et présence de drogue sur eux. Par chance, ils ont tous les deux des papas hauts en hiérarchie et qui en un coup de téléphone les font sortir de cellule dès l'heure suivante. Et oui on n'hérite pas tous d'ancêtre aussi utile... quoi qu'à entendre Maëlys, elle envie assez régulièrement -dans ses périodes déprimes- les jeunes filles de son âge, proche de papa et maman, mais sans forcément de fric, une complicité réellement basée sur l'amour et non l'argent. Enfin bon passons. « Caches pas ta joie, je sais que t'es trop heureuse, toute manière t'étais jalouse de mon rendez-vous avec cette fille ! » Oh oui, une chose aussi à savoir c'est que les deux jeunes amis étaient vachement jaloux, mais bien évidemment, là encore ils ne l'avoueront jamais. Pas question de s'abaisser devant l'adversaire, ils avaient toujours une bonne raison de dévier la question, ou la situation carrément. C'est vrai que Maëlys n'aimait pas voir Andreas sortir pour un rendez-vous -pseudo romantique- avec une autre nana de la fac. Tant qu'elle ne la connaissait pas elle s'en fichait. Quoi que là, elle était au courant de tout, la veille elle avait dû tirer les vers du nez de Andreas pour avoir tous les détails (le prénom et le nom de la fille au minimum !) « Jalouse de Pénéloppe ? La brune sans poitrine avec un cul de trois fois le mien ? T'as craqué ton string chéri et d'ailleurs dis-moi, t'avais pas trop bu le jour où tu l'as invitée ? » C'est vrai que la galanterie et Andreas ça faisait deux. Après tout, on ne peut pas être au top à tout niveau n'est-ce pas ? Sans même attendre, Andreas répliqua : « Je n'ai pas dit que tu étais jalouse de son physique, mais plutôt du fait que ELLE je l'invite à boire un verre, alors que je l'ai jamais fait avec toi ! » Andreas lui fit un sourire coquin. Putain il avait le don de la toucher particulièrement là où ça fait mal à chaque fois. Mais elle n'allait pas lui montrer bien évidemment, elle remit sa carapace de « je n'éprouve aucun sentiment » et continua dans son sens, pour ainsi finir la discussion, elle prenait une ampleur que la jeune femme ne contrôlait pas et elle détestait ça. « Tu fais ce que tu veux avec qui tu veux, je ne suis pas ta mère ! » Ça c'était dit et ça n'était plus à faire. Andreas alla dans la cuisine et se prépara un bol de céréale. Croyez-vous qu'il allait demander à Maëlys si elle en voulait un ? Bien sûr que non, il ne fallait pas exagérer non plus. Celle-ci alla dans la salle de bain, elle avait envie de faire une connerie et elle allait la faire bien évidemment. Elle prit tous les tubes de dentifrices, de shampoings et tout ce qu'elle avait à disposition et les planqua dans ses poches de pyjama -heureusement elle n'avait pas mis une nuisette. Elle retourna dans la cuisine/salle à manger où Andreas était dans le canapé en train de regarder ma télévision avec son bol de céréale chocolaté. Il s'exclama en hurlant, croyant que Maëlys était retourné dans la chambre qui était au bout du couloir : « Fais pas la gueule, je t'inviterais un jour toi aussi ! » Trop c'était trop, elle avait envie de lui foutre des baffes, mais au lieu de ça, elle prit les tubes de dentifrices et tout le reste et après avoir fait le décompte dans sa tête, elle appuya de toutes ses forces sur les tubes (bien évidemment elle avait prit soin de tout ouvrir avant) et la pâte à dent sorti à une vitesse extrême et vint se poser dans les cheveux de Andreas. Le shampoing tant qu'à lui se tartina sur le visage du jeune homme et le reste sur ses vêtements, ses bras, des jambes, partout quoi. Il se leva immédiatement, il regarda Maëlys d'un regard qui en disait long. Il détestait plus que tout qu'on s'attaque à lui en douce comme elle venait de le faire et le dentifrice plein les cheveux, c'était encore pire. On aurait cru qu'il allait la bouffer. Elle savait très bien qu'il allait se venger et que sa vengeance serait mille fois plus grande, c'est pourquoi elle courut comme une folle dans la salle de bain et ferma la porte. « MERDE LA CLEF ELLE EST OU ? PU(...)UTAIN NOON !! » Elle se rappela aussitôt que leur salle de bain n'avait jamais eu de clef et qu'elle ne pouvait pas se fermer à clef. Elle était donc coincée, au milieu des draps de bain et de la douche, elle essaya tant bien que mal de chercher une cachette, mais à part derrière la porte y'avait aucune issue. Elle n'eut pas le temps de réfléchir plus longtemps, Andreas entra dans la salle de bain, il avait dans les mains, la moutarde, le ketchup, la mayonnaise, les œufs la farine et encore des multiples choses. Maëlys avait beau crier, elle était morte. Elle voulut finir ses tubes, mais trop tard, elle avait déjà tout vidé, elle n'avait plus de munition, elle était en position inférieure. « Tu vas le regretter Maëlys, faut pas me chercher... » Ni une ni deux, il la tartina, elle en avait partout, de la tête au pied, le sol de la salle de bain était impraticable, dès qu'ils faisaient deux pas ils se cassaient la gueule. « Tu l'auras voulu chou ♥ » La bataille continua encore quelques minutes, jusqu'à ce que les gens du troisième étage, juste en dessous d'où ils habitaient, cognent trois coups de balai dans le plafond, pour calmer le jeu. Maëlys se regarda dans le miroir et explosa de rire : elle ne ressemblait à rien et Andreas c'était bien pire. Celui-ci vint lui faire un bisous au dentifrice dans son coup et elle rigola de plus belle. Et voilà comment terminer la plupart de leur « semi-dispute » : à se faire des câlins. Cette fois-ci, la suite de l'épisode allait se passer dans la douche. La douche d'un mètre sur un mètre à deux là dedans, je vous laisse imaginer. *baf* « Je te déteste Andreas, JE TE DÉTESTE ! » Là-encore, elle avait dit ça en rigolant, quoi que, vu l'état de ses cheveux, elle pouvait bien le haïr jusqu'à la fin de ces jours, mais ça elle en était incapable. ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦ ♦
Dernière édition par Maëlys-Keth Bronwyn le Lun 30 Aoû - 13:09, édité 20 fois |
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Marin Castell Look at the stars, look how they shine for you.
Messages : 384 Date d'inscription : 18/08/2010 Crédits : Bedshaped Avatar : Watson Âge du personnage : dix-neuf ans
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:13 | |
| Bienvenue Amber t'es réservée (a) |
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Messages : 695 Date d'inscription : 20/02/2010 Crédits : White Rabbit ; Tumblr Avatar : MSmith. Âge du personnage : 25 yo.
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:24 | |
| June elle connait tout le monde on dirait (a) WELCOME |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:27 | |
| FUCK ELLE EST TROP BELLE AMBER SUR TON AVATAR welcome Juny est une star c'est pour ça :p
EDIT : BON DIEU CEST TOI MA CHLOE D'AMOUR un lien s'impose :o
Dernière édition par Byron-Graham Clinton le Sam 28 Aoû - 22:29, édité 1 fois |
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Ashlynn-Coco Emerson MISCHIEVOUS R ☆ Well you can tell Jesus that the bitch is back!
Messages : 532 Date d'inscription : 26/07/2010 Crédits : . Avatar : .
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 22:28 | |
| PERVERSE TU TOMBE BIEN J'AI BESOIN D'UN PRÊTRE . AMBER/KATIE , AMBER/BLAKE me faudra des liens avec toi |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 23:01 | |
| GREEN MEESTER SOMERHALDER CASSIDY bordel ayé je bave, excellent choix couillon. Merci à vous
La biatch qu'est fanny m'avait même pas reconnue, honte à toi vilaine fille. Tiens pour la peine je te laisse chercher pour le lien de tuerie. Han t'as vu, nous sommes d'accord là-dessus, amber est magnifique sur mon avatar enfin pas que.
Junie la killeuse. Je tombe toujours bien faut le savoir C'EST POUR UN MARIAGE ? QUOI TOI ET FANNOU VOUS VOUS MARIEZ ? GODNESS ENCORE UNE BELLE TROUVAILLE. *baf* Forcément que j'veux des liens avec blake et katie elles sont trop bandantes. |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 23:06 | |
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AWN NAN J'Y CROIS PAS, CHLOE LA BONNASSE (toujours avec Amber a ce que je vois ) bienvenue (a) oui, j'retourne à ma fiche.
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 23:09 | |
| PUNAISE MA BONASSE. EN PLUS AVEC KAREN QUOI. JE ME FERAIS HOMO RIEN QUE POUR TOI. Amber elle est trop dans mon cœur pour pas que je la prenne. Oui finis ta fiche grosse vilaine que tu es. Tu pollues la mienne avec tes insultes. ♥ |
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Ashlynn-Coco Emerson MISCHIEVOUS R ☆ Well you can tell Jesus that the bitch is back!
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Sam 28 Aoû - 23:12 | |
| - Maëlys-Keth Bronwyn a écrit:
- GREEN MEESTER SOMERHALDER CASSIDY bordel ayé je bave, excellent choix couillon.
Merci à vous
La biatch qu'est fanny m'avait même pas reconnue, honte à toi vilaine fille. Tiens pour la peine je te laisse chercher pour le lien de tuerie. Han t'as vu, nous sommes d'accord là-dessus, amber est magnifique sur mon avatar enfin pas que.
Junie la killeuse. Je tombe toujours bien faut le savoir C'EST POUR UN MARIAGE ? QUOI TOI ET FANNOU VOUS VOUS MARIEZ ? GODNESS ENCORE UNE BELLE TROUVAILLE. *baf* Forcément que j'veux des liens avec blake et katie elles sont trop bandantes. OUI OUI C'EST POUR UN MARIAGE . Ahhh c'est amber la plus bandante voila. |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 0:14 | |
| - Rainee-Ainsley Emerson a écrit:
- OUI OUI C'EST POUR UN MARIAGE . Ahhh c'est amber la plus bandante voila.
NOON C'EST KATIE D'ABORD. On va se mettre d'accord sur le fait que nous sommes pas d'accord biatch |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 0:24 | |
| Tuuutafait :P |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 0:35 | |
| WELCOME |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 0:40 | |
| ADAAM merci |
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Messages : 57 Date d'inscription : 28/08/2010 Crédits : cristalline (avatar) ♣ lj - tmomsen8 (icons) Avatar : PennysexyhotBadgley Âge du personnage : 23ans
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 0:48 | |
| (Chloé ?! Laura de LMS ) AMBER EST GENRE TROP HOT Alors c'est décidé, je veux un lien puis the stepfather oblige (aa) |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 18:59 | |
| - Kinsley Clinton a écrit:
- (Chloé ?! Laura de LMS )
AMBER EST GENRE TROP HOT Alors c'est décidé, je veux un lien puis the stepfather oblige (aa) Oh Laura Tu l'auras ton lien, y'a même pas besoin de négocier le prix parce que Adam oblige tout pareil. |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 19:26 | |
| AMBER. Bienvenue. |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 19:38 | |
| PAAUL BORDELOU J'exige un lien beau brun |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Dim 29 Aoû - 19:38 | |
| Avec plaisir. |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Lun 30 Aoû - 13:17 | |
| J'ai terminé, j'espère que tout est bon. |
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Messages : 695 Date d'inscription : 20/02/2010 Crédits : White Rabbit ; Tumblr Avatar : MSmith. Âge du personnage : 25 yo.
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Lun 30 Aoû - 14:46 | |
| JUST JACK Je t'aime vraiment tu sais J'ai aussi beaucoup aimé ta fiche donc tu es validée (a) Quel groupe, alors? |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Lun 30 Aoû - 15:33 | |
| - Seven Rosebury a écrit:
- JUST JACK Je t'aime vraiment tu sais
BORDEL Ça gère je suis d'accord. Pour le groupe, je reste sur THIS BITCH DESERVED TO DIE finalement. Merci |
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Messages : 695 Date d'inscription : 20/02/2010 Crédits : White Rabbit ; Tumblr Avatar : MSmith. Âge du personnage : 25 yo.
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Lun 30 Aoû - 16:08 | |
| Parfait je fais ça (J'ai appelé mon Ed Ember ici (a) ) |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] Lun 30 Aoû - 21:56 | |
| - Seven Rosebury a écrit:
- Parfait je fais ça (J'ai appelé mon Ed Ember ici (a) )
Merci. ( Embers j'aime.) J'arrête de flooder aussi |
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| Sujet: Re: MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] | |
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| | | | MKB • We escape the desire only to be resumed by the desire. [termine] | |
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