TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you.

**Invité** Invité

Je me prénomme Patrisha-Olivia Wakefield, j’ai un abominable prénom je le reconnais et c’est donc pour cette raison que tout le monde me surnomme Trish, certains osent encore me surnommer Trishy, n’importe quoi ma parole. Pendant quatorze ans j’ai été fille unique, mais j’ai entre-temps eu la chance d’avoir une petite sœur qui un an après est partie rejoindre les anges. Ma famille n’a d’ailleurs pas su surmonter cela et donc mes parents sont divorcés. Je suis née le vingt-sept septembre à New-York. Magnifique ville qui manque malheureusement de repos. Je suis âgée de vingt-quatre ans, je me fais vielle. J’ai des origines américaines de la part de ma mère et italiennes de la part de mon père, un mélange plutôt agréable. J’ai toujours rêvé de devenir une sorte de danseuse professionnelle. Le ballet et la dance de rue étaient ma passion et j’étais d’ailleurs sur le bon chemin, mais un accident m’a privé de cette passion. Je fais des études en archéologie, mais je travaille malheureusement dans une petite biblothèque.

Et pour incarner la petite Trish, je désigne sophia bush. la magnifique. Pas très étonnant mais bon, je n’y peux rien si je la trouve tout simplement parfaite et que je suis née égoïste au point de ne laisser personne la jouer.

happy ending.

COMMENT TU T'APPELLES (pseudo ou prénom au choix) HAYBOMB aka Ana.
C'EST QUOI TON ÂGE? Seize ans et onze mois.
LE GROUPE DE TON PERSO SAD, BUT I DIDN'T REALLY KNOW HER.
COMMENT CONNAIS-TU SSAWI? C'est simple, je sais tout et je connais tout.
QU'EN PENSES-TU? C'est magnifique. Tout est franchement magnifique. La team gère, le contexte gère, le design gère. TOUT gère
POUR FINIR ON VOUDRAIS JUSTE LE CODE DU RÈGLEMENT The DJ got us fallin' in love again

**Invité** Invité

a window to the past.

No sir, well i don’t wanna be the blame, not anymore it’s your turn, so take a seat we’re settling the final score. And why do we like to hurt so much ? I can’t decide, you have made it harder just to go on. And why, all the possibilities, well I was wrong !

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Patrisha-Olivia Wakefield, dites Trish est venue au monde un vingt-sept septembre 1987. Sa famille était une famille très riche mais très unie aussi. Ses parents qui étaient très amoureux l’un de l’autre prenaient soin de Trish comme si la brunette était une vraie petite princesse. Fille unique, Trish était très gâtée. Tout le monde cherchait à lui offrir les plus beaux cadeaux, les plus chers et rares. Elle n’y a jamais prêté grande attention car dans le fond, tout ce qu’elle voulait, c’était un petit frère ou une petite sœur avec qui elle pourrait jouer et passer une grande partie de son temps. Elle a eu une enfance plutôt joyeuse et bien remplie. Plus le temps passait, plus la brunette grandissait et moins elle avait le temps de se consacrer à sa famille. Entre les amis du lycée et sa passion pour la danse, Trish ne demandait qu’une chose, qu’on lui laisse la liberté qu’elle avait besoin pour pouvoir vivre sa vie. Ses parents étaient fiers de voir qu’ils avaient su éduquer leur fille de manière à ce qu’elle soit passionnée et déterminée, mais demander cette liberté alors qu’elle n’avait à peine que treize ans, c’était malheureusement beaucoup trop demander à Lilith et Marcus Wakefield. Selon eux, éduquer un enfant, surtout une fille, c’est avant tout les protéger contre les misères que le monde peut parfois nous offrir. Mais allaient-ils pouvoir la protéger tout leur vie ? Et puis, peut-être qu’en voulant trop la protéger ils finiront par l’étouffer et donc par la perdre. Trish était jeune, elle ne comprenait donc pas – ou elle ne voulait pas comprendre – pourquoi ses parents étaient ainsi, mais ils avaient tous les deux espoirs, qu’un jour celle-ci comprenne le pourquoi du comment. Très têtue et une menteuse née, Trish disait à ses parents qu’elle comprenait et qu’elle allait respecter leur décision, mais dès qu’ils avaient le dos tourné, celle-ci ne pouvait s’empêcher de faire l’interdit. De sortir le soir alors que ses parents croyaient qu’elle dormait chez une amie, fréquenter un garçon et puis, faire de la danse de rue. Ses parents sont fiers qu’elle soit passionnée et bonne danseuse mais cela ne fonctionne que pour le ballet car, la danse de rue … C’est pour les pauvres. Selon Lilith et Marcus, c’est ce que les pauvres font pour gagner de l’argent pour pouvoir survivre. Maintenant il faut juste voir s’ils essayaient de la protéger elle, de se faire du mal ou quoi que ce soit, où s’ils essayaient de protéger la réputation de la famille. Ballet c’est classe, danse de rue c’est crade.

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Qui disait que l’on ne pouvait pas tomber amoureux à quatorze ans ? Trish avait probablement été une des premières filles a croire cette connerie mais dès qu’elle a fait la connaissance de Josh, elle a sans été une des première à dire au monde entier que l’amour n’avait pas d’âges et que l’on pouvait tomber amoureux à n’importe quel âge, du moment où l’amour est sincère. Au départ, ces deux là étaient pires que Tom and Jerry. Toujours entrain de se chercher. Trish lui prêtait guère attention car pour elle, ce garçon n’était pas assez malin pour mériter ne serait-ce qu’une seconde de son attention. Mais après tout, elle a beau se montrer forte face à ce brun ténébreux elle ne peut tout de même l’entendre dire des conneries à son sujet sans dire quoi que ce soit. Elle a tout de même sa fierté. Plus ils essayaient de s’éviter plus ils tombaient l’un sur l’autre et à chaque fois, c’était une sorte de bombe lâchée. Une haine très forte est venue s’installer entre ces deux là et personne était capable de le comprendre car, ils n’avaient aucune raison pour. C’est comme si dès que leurs regards se sont croisés ils étaient destinés à se détester. Plus le temps passait plus les piques qu’ils s’envoyaient étaient fortes mais nettement moins fréquentes. Ils ne cherchaient plus à s’éviter et parfois, Josh osait même lancer de petits sourires discrets à Trish qui ne lui répondait pas de la même manière. Pour elle, il essayait tout simplement de la faire fondre pour après la poignarder dans le dos. Elle ne lui faisait pas confiance, enfin elle voulait ne pas lui faire confiance. Elle le considérait même comme potentiellement dangereux. Lors d’une fête, Josh et Trish se sont retrouvés plus proches que jamais. Leur complicité était si grande qu’un inconnu ne pourrait se douter que ce même matin, ils s’étaient réveillé en étant les pires ennemis du monde. Trish était perplexe mais elle n’osait rien dire, elle profitait de ce moment qui pouvait malheureusement être unique. « Je me demande pourquoi on s’évite de cette manière, pourquoi on se déteste alors qu’on a aucune raison pour ! » Cette phrase que Josh venait de prononcer avait un peu cassé l’ambiance puisqu’elle avait mis Trish très mal à l’aise. Il est vrai qu’ils n’avaient aucune raison valable pour se détester, mais n’était-ce tellement plus facile de se détester que de s’aimer ? Trish se demandait si l’aimer comme elle prétend le détester serait une bonne chose ou au contraire, une mauvaise chose. Après cette fête, au lycée, ils n’osaient plus tellement s’éviter ou se lancer des piques. Ils se parlaient normalement, même si c’était assez gênant pour les deux jeunes gens. Alors qu’ils s’apprêtaient à aller en cours (ais-je oublié de mentionner qu’ils étaient dans la même classe ?) Trish s’avança vers lui et lui fit une proposition que la plupart des gens aurait probablement refusé. « T’as envie d’aller à la plage ? » Il ne faisait pas spécialement très chaud, mais Josh n’hésita pas une seule seconde à accepter cette proposition. Avait Trish franchit le cap de la haine et oserait-elle avancer vers l’amour ? La plage était tout simplement déserte, tous les adolescents se trouvaient au lycée, les parents au boulot et ceux qui n’avaient pas de boulot n’étaient pas fous au point de venir à la place alors que le soleil ne montrait pas tellement le bout de son nez. Une fois arrivés à la plage, Trish se mit assise sur le sable et Josh se mit assis à côté d’elle. Pendant quelques secondes, le silence était devenu pesant, même si Trish n’y prêtait guère attention. « Tu sais, là, j’ai vraiment envie de t’embrasser mais je n’ai pas envie de gâcher ce moment avec toi ! » Cette phrase attira l’attention de Trish qui se tourna d’aussitôt vers le jeune homme. « Fais-le ! Tu ne gâcheras rien car si tu ne m’embrasses pas c’est moi qui vais t’embrasser … ». Trish finit par poser ses lèvres pulpeuses sur celles de Josh et ils s’échangèrent un long baiser.

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Depuis toute petite, dès que Trish entendait de la musique elle ne pouvait s’empêcher de se mettre à bouger. Elle savait à peine marcher mais dansait déjà comme une professionnelle. Dès qu’elle avait l’âge pour, ses parents l’ont directement faire prendre des cours de ballet. Une chose qu’elle adorait, la seule chose qui permettait à la jeune brune de se détendre. Ses parents en étaient extrêmement fières et plus les années passaient, plus Trish devenait douée et passionnée. Étant donné que celle-ci était probablement une des plus douées au ballet, elle voulait essayer de nouvelles choses. Ses parents lui proposaient la salsa ou même le tango mais cela ne lui disait absolument rien du tout. Elle voulait oser et pouvoir peut-être imposer son propre style et retrouver une certaine liberté qu’elle ne pouvait trouver quand elle fasait du ballet. Au ballet, chaque petit mouvement est étudié et elle avait envie de pouvoir se lâcher. Elle aurait tout simplement pu lâcher le ballet, mais elle en était incapable vu que le ballet représentait une grande partie de sa vie et une grande fierté pour ses parents, elle n’avait aucunement le droit de leur faire ça. Sans trop se poser de questions, Trish essaya la danse de rue, ce qui se révéla être une vraie passion. Elle était tout aussi douée et se sentait enfin bien dans sa peau. Elle n’osait rien dire à ses parents car, jamais ils accepteraient de voir leur princesse danser sur des sols crades avec des gens probablement plus crades. La danse de rue était pour eux une danse pour ceux qui n’ont rien dans la vie et qui ne savent rien faire d’autre dans leur misérable vie, mais ils avaient tord. Les danseurs de rue sont peut-être, certainement même, plus doués et passionnées qu’un technicien informatique ou même que le président. Ils aiment ce qu’ils font et ne vivent que pour ça. Que ce soit le ballet ou la danse de rue, Trish était partagée entre deux mondes qui lui étaient plus qu’importants. Mais une chose elle en était sûre, elle avait besoin de la danse pour vivre, classique ou pas classique. Mais un accident l’empêcha de poursuivre sa passion. Un accident l’empêcha de faire du ballet ou même de la danse de rue, un accident la priva de sa raison de vivre. Maladroite, en descendant les foutues escaliers de sa maison, celle-ci a loupé quelques marches et ces quelques marches, ont été suffisantes pour lui fracasser son genou de manière à ce qu’elle ne puisse plus jamais danser. Josh, son petit copain, savait qu’elle passait un très mauvais moment, il savait qu’elle n’allait pas bien et que tous ses sourires qu’elle envoyait aux gens étaient plus des appels au secours qu’autre chose. « Je sais que la danse a toujours fait partie de ta vie et je sais combien cela doit être dur, mais sache que je ne te laisserais jamais tomber » Cette phrase n’avait peut-être aucun sens aux yeux de nombreuses personnes mais pour Trish cela voulait tout dire. Sans la danse elle va mal, mais est très bien capable de survivre car, elle a Josh mais si on l’a prive de danse et de Josh, elle ne le surmontera probablement pas. « Je l'espère. Si je tiens encore à moitié debout c'est grâce à toi. Je ne te demande pas de me comprendre ou quoi que ce soit, juste d'être là. » A ce moment précis, elle attendait qu'un miracle se produise. Une sorte de bonne nouvelle qui lui ferait oublier sa douleur.

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« Cette fille, c’est définitivement pas ton genre. Tu veux juste te la taper, avoue-le ! » Trish n’appréciait aucune des soit disant copines de son meilleur ami. Elle devait toujours leur trouver des défauts et elle était parfois même capable de créer des conflits avec étant donné qu’elle savait que Byron, ne supportait pas le fait qu’on s’en prenne à sa meilleure amie. Trish n’aimait pas partager son meilleur ami et cela semble être réciproque étant donné que Byron n’apprécie pas le fait que sa meilleure amie sorte avec Josh. Il ne connait pas Josh mais je peux vous assurer, qu’il ne l’aime pas. Byron et Trish, se connaissent depuis … toujours. Dès qu’ils ont commencé à devenir proches l’un de l’autre, tout le monde disait qu’ils allaient finir par se mettre ensemble, avoir une famille et des enfants et pourtant il n’y a jamais eu quoi que ce soit entre eux, même pas un seul baiser. Que de la pure et vraie amitié entre eux. Très complices, ils ne se cachent absolument rien, puisque même si par exemple Byron cherchait à cacher quelque chose à Trish celle-ci le découvrirait directement et vice-versa. Ils peuvent être les meilleurs menteurs du monde, entre eux pas de mensonges possibles. Depuis que Trish sortait avec Josh et qu’elle avait découvert que la danse n’allait désormais plus faire partie de sa vie, celle-ci passait beaucoup moins de temps avec son meilleur ami, dans le fond, le regarder c’était comme se souvenir de ses premiers pas de danse. Une vraie torture, mais ne pas le voir tout court c’est aussi une torture. Elle ne cherchait pas tellement à l’éviter, car elle en était incapable. Il connaissait tous ses faits et gestes, elle ne pouvait se cacher de lui. La seule excuse qu’elle avait, c’était de passer toutes ses journées dans les bras de Josh et vu la relation que Byron avait avec Josh, elle était persuadée que celui-ci n’allait pas oser approcher le couple. C’est une réaction probablement méchante et égoïste, sachant qu’ils sont meilleurs amis depuis toujours, mais Trish ne sait pas comment dire à son meilleur ami que voilà, sa vie à été chamboulée par une chute dans les escaliers que tout le monde croyait être peu importante. Les week ends, étaient probablement une des meilleures choses du lycée. Pouvoir se coucher très tard et se lever très tard aussi, le rêve de n’importe quel adolescent. Ses week ends, Trish devait les passer loin de son petit copain car, même si elle avait dix-sept ans, ses parents ne toléraient toujours pas le fait qu’elle sorte avec un garçon depuis bientôt trois ans. Byron quant à lui et ben il était toujours le bienvenue chez les Wakefield. Alors que Trish était persuadée de passer sa journée enfouie dans un canapé entrain de se gaufrer de popcorns, son téléphone se mit à sonner. C’était Byron. Il lui demandait si elle n’avait pas envie qu’il passe la voir et toujours aussi distante, celle-ci voulait faire croire à son meilleur ami qu’elle n’était pas à la maison et qu'elle était avec Josh. « Franchement Trish, tu crois que je vais te croire ? Tes parents aiment Josh comme moi je l’aime. Allé, viens dehors je t’attends. » Celle-ci ne s’attendait pas à ce que son meilleur ami perçoive ce mensonge. Elle commençait sérieusement à se poser des questions sur son pouvoir de mensonge. N’était-elle plus douée comment avant ? Celle-ci finit par se lever de son canapé et par sortir de chez elle. Byron l’attendait dans sa voiture. « Byron … Qu’est-ce que tu fais là ? Ca fait si longtemps. » Exactement, cela fait si longtemps Trish ! Pourquoi la brunette était-elle comme ça avec la seule personne capable de la faire surmonter cette épreuve la tête bien haute ? « Je t’emmène faire un tour et j’ai parlé à tes parents et ils sont plus que d’accord. Aller, monte ! »

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En l’espace de quelques années, Trish en a vue de toutes les couleurs. Tout ce qu’elle ne connaissait pas, la douleur, l’amour et quasi la torture, sont venus hanter ses pensées quotidiennes. Rares étaient les bonnes nouvelles qui venaient illuminer ses journées. Enfaîte, si. Il y a neuf mois, sa mère lui annonçait qu’elle allait probablement avoir une petite sœur. Depuis son plus jeune âge, Trish attendait ça. Les choses allaient probablement être plus dures car, Trish allait avoir dix-sept ans d’écart de la petite, mais elle ne pensait pas tellement à ça. Elle s’imaginait déjà avec la petite dans ses bras. Oh oui, elle ne pouvait s’empêcher de sourire à chaque fois que cette image lui traversait l’esprit. Lilith et Marcus avaient décidé de prénommer la petite Iris, ils ont toujours eu un péchant pour les prénoms qui sont rarement utilisés, avouons-le, Patrisha, est rarement, voir jamais utilisé. Heureusement que cette fois-ci, ils avaient opté pour un prénom plus court et avec l’aide de Trish, ils ont su lui trouver un prénom qui n’attirerait pas les moqueries de toute le monde dans les premières années de lycée. Parfois, quand Trish parlait d’Iris – alors qu’elle n’était même pas née – à Josh, on voyait sur le visage du brun ténébreux, une sorte d’inquiétude. Comme si à chaque fois il avait peur que Trish lui dise qu’elle voulait avoir bientôt une enfant ou quoi que ce soit du genre. Même si Josh prétendait vouloir une relation plus que sérieuse avec Trish, ce genre de choses lui foutaient la chair de poule. Trish voulait probablement avoir une famille, toutes les filles le veulent, cependant elle a largement le temps. Dans le fond, elle espérait que sa relation avec Josh dure jusqu’au au moment où celui-ci la demandera en mariage et jusqu’au moment où ils auront des gosses. Car l’amour que Trish à envers Josh ne fait que grandir de jour en jour. Nombreux étaient ceux qui ne pouvaient s’empêcher de critiquer la mère de Trish ainsi que sa mère. Trish avait dix-sept ans et allait avoir une petite sœur, c’est le monde à l’envers étant donné que la plupart du temps c’est les jeunes adolescentes de dix-sept ans qui tombent enceinte et non les mères des adolescentes de dix-sept ans. Les moqueries, Trish savait passer outre. Une chose qu’elle avait appris au long de toute sa vie à New York, ne jamais descendre au niveau de certaines personnes, mais il ne faut pas non plus se laisser marcher sur les pieds. C’est difficile de trouver un juste équilibre dans ce monde de fous. Le 19 mars, Iris est venue au monde. Oh un jour joyeux pour Trish qui n’a pas hésité à quitter la salle de cours sans donner la moindre explication au professeur pour aller rejoindre sa mère à l’hôpital. Cette petite sœur, elle l’avait attendue et elle ne voulait rien rater.

Un petit mois après la naissance de la petite Iris, la maison Wakefield avait en quelques sortes pris un coup de bonheur pas croyable. Trish ne lâchait pas la petite qui était d’ailleurs plus que magnifique. La voir à chaque fois, était encore une sorte de choc. La brunette ne pouvait s’empêcher de parfois verser une petite larme, des larmes de bonheur bien sûr. « Tu sais Iris, je me demande comment maman a su mettre au monde une petite fille aussi mignonne que toi. Sérieusement, je me pose la question » Trish s’entendait bien avec ses parents mais malgré tout, ce n’était pas, ou ce n’était plus, le grand bonheur à la maison. Depuis que Trish s’est imposée à ses parents pour faire de la danse de rue et suite à son accident, les gens à la maison sont devenus plutôt froides même si la plus part du temps personne ose en parler. Les parents de Trish lui en veulent d’avoir commencé cette danse crade et Trish leur en veut de ne pas avoir cherché un meilleur médecin qui lui aurait probablement mieux soigné, enfin de manière à ce qu’elle puisse continuer la danse.

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Trish a probablement une grande liste de bons amis, très bons amis même, elle sait qu’il y en a que deux qui la connaissent réellement. Byron et Penelope, ses deux meilleurs amis pour la vie. Cela peut sembler assez gros de dire, amis pour la vie, mais ils le sont. Penelope était au départ la voisine de Trish, quand elles étaient très jeunes. Leurs parents, sont devenus amis et lors des diners et tout autre type de fêtes qu’ils passaient ensemble c’était une occasion pour que la blonde et la brune se rapprochent. Elles faisaient un grand nombre de choses ensemble et plus le temps passait plus on pouvait remarquer qu’elles n’étaient pas seulement que complices, elles se complétaient. La brune à besoin de la blonde et vice-versa. Elles semblaient être si différentes pourtant elles étaient toutes passées par presque toutes les même misères de la vie et c’est sans doute pour cette raison, que Penelope savait toujours trouver les mots justes pour réconforter Trish et vice-versa. Leur relation est vraiment fusionnelle. Très, donnant-donnant. Quand Trish passait ne serait-ce qu’une journée sans entendre la voix de sa meilleure amie, elle sentait comme un vide à l’intérieur d’elle, comme une sorte d’inquiétude qui parfois l’empêchait de se concentrer. Ma foi, heureusement que les gsm existent. Malgré le fait que Trish a sincèrement eu du mal à dire à son meilleur ami qu’elle n’allait malheureusement plus faire de la danse, elle n’a pas hésite une seule seconde avant de le dire à sa meilleure amie. Toutes les décisions prises par Trish, on été en partie « influencées » si j’ose dire, par Penelope. Elle ne lui a jamais empêche de faire ci ou ça, elle lui montrait tout simplement les conséquences des choses et c’est probablement grâce à sa meilleure amie, si Trish a évité un grand nombre de conneries. Mais ne me dites pas, que vous aviez cru une seule seconde que Trish est tombée dans les bras de Josh comme ça, du rien. Et non, Penelope a eu son mot à dire et dans le fond, la blonde à donné à la brune une certaine envie de découvrir l’amour. Assez étonnant. En tant que couple, ces deux là, seraient tout simplement parfaites. Quand Lilith, la mère de Trish, a annoncé à Trish qu’elle attendait une petite fille, Trish fut tellement débordée de joie qu’elle n’a su l’annoncer quelques semaines après à sa meilleure, qui n’en revenait d’ailleurs pas. Comment Lilith avait-elle pu tomber enceinte avec son âge ? Enfin elle n’était pas vielle mais bon, c’était tout de même assez risqué et pour quelqu’un qui voulait empêcher sa fille de faire de la danse de rue à cause de la réputation de la famille et ben je me demande ce qu’ils en font de la réputation de la famille là. « Donc ta mère est vraiment enceinte ? Je ne peux pas dire que la petite sera chanceuse. Avoir Lilith comme mère c’est déjà assez grave, surtout qu’elle a déjà atteint un certain âge. » Penelope était une fille franche, une des meilleures filles que Trish connaissait et non, Trish ne prenait en aucun cas mal les choses que Penelope disait car, elle avait entièrement raison. Penelope s’entendait très bien avec toute la famille de Trish et dans le fond, elle s’entend toujours très bien avec eux, le seul problème c’est qu’elle ne supporte parfois pas le mépris que Lilith et Marcus peuvent parfois faire preuve face à Trish. Quand la petite Iris est venue au monde, Penelope était probablement aussi excitée que sa meilleure amie Trish. Après tout ce qu’elles ont traversé et traverseront ensemble, vous allez me dire que certaines amitiés ne sont pas éternelles ?!

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« Trish, c’est maman ! Tu dois absolument nous rejoindre à l’hôpital … C’est Iris, elle ne va vraiment pas bien » Ceci fut le message que Lilith laissa dans la messagerie du téléphone de Trish. Après une journée assez fatigante, il faut avouer que Trish ne s’attendait pas à recevoir un message comme celui-ci venant de sa mère et donc le choc fut particulièrement grand. Les larmes étaient montées à une vitesse incroyable qu’elle n’avait su se contrôler, elle ne voulait les contrôler. Elle devait faire sortir cette inquiétude et cette peur d’une manière ou une autre. La brunette était tellement stressée qu’elle avait du demander à son petit copain de l’accompagner à l’hôpital. Celui-ci était tout aussi perdu qu’elle, mais il n’osait rien lui demander, par peur de lui faire encore plus de mal. Trish s’imaginait toute sorte de choses, mais jamais elle ne se douterait une seule seconde que sa petite sœur qui avait tout juste deux mois allait si mal. Une fois arrivée à l’hôpital accompagné de Josh, celle-ci chercha ses parents et c’est en larmes qu’elle finit par les trouver. Lilith parlait à peine tellement elle était brisée et Marcus, semblait être en colère. Une colère qui cachait probablement une tristesse incroyable. Trish finit alors par s’aprocher de sa mère et prononça d’une voix plutôt baisse « Dis-moi, tout se passera bien ? Elle n’a rien de grave n’est-ce pas ? » Dans le fond, elle sentait que sa petite sœur n’allait vraiment pas bien mais elle voulait croire que ce n’était une fausse impression et qu’Iris n’avait qu’une petite fièvre de rien du tout. « Non Trish ! Ta sœur ne va pas bien et elle n’ira probablement jamais bien » finit Lilith par répondre d’une voix assez froide qui fit sursauter la brunette. Josh qui se trouvait à côté n’avait d’ailleurs pas apprécié, mais Trish l’empêcha de dire quoi que ce soit. Ses parents ne l’aimaient pas tellement et s’il osait encore dire quelque chose et ben ce serait terminé. « Qu’est-ce qu’elle a ? » Trish essayait de passer outre le fait que sa mère lui avait crié dessus sans aucune raison. Elle était sans doute plus triste que Trish et donc la brunette essayait de comprendre. Toute la famille Wakefield se trouvait en larmes et malheureusement, ce n’étaient pas des larmes de bonheur comme il y a deux mois, c’étaient malheureusement des larmes de tristesse. « Insuffisance cardiaque ! » Ces deux mots furent tellement bouleversants que Trish était incapable de se tenir debout. Elle resta alors pendant deux bonnes minutes assise, sans bouger, sans parler, sans clignoter des yeux. Elle était sous le choc. Josh se contentait de lui tenir la main, mais elle était tellement déconnectée du monde, qu’elle ne se rendit même pas compte que celui-ci se trouvait à ses côtés. Les larmes qui coulaient sur son visage étaient désormais plus fréquentes.

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Depuis que Lilith et Marcus avaient appris qu’Iris, leur dernière fille, avait une insuffisance cardiaque, ils étaient devenus plus distants et s’occupaient à peine de cette dernière. Trish quant à elle, en prenait encore plus soin. Elle ne comprenait pas comment ses parents pouvaient la négliger ainsi, alors qu’elle avait sans doute le plus besoin d’eux. Elle était très petite et ne se rendait probablement pas compte du fait que ses parents agissaient comme si tout allait bien et qu’elle n’était même pas là, mais pour Trish s’en était de trop. Une ambiance particulièrement froide est venue s’installer au sein de cette famille qui était autre fois, très unie. Toutes les semaines, Iris devait se rendre chez le médecin mais Lilith et Marcus préféraient rater tous les rendez-vous que d’y aller et probablement ruiner un peu la réputation de la famille, quoi que, je doute que l’on puisse appeler encore ça une famille. Au lycée, les rumeurs comme quoi Trish serait la mère de la petite étaient de plus en plus courantes, mais cela ne lui faisait ni chaud ni froid, elle avait tout simplement d’autres chats à fouetter. Les amis les plus proches de Trish ne comprenaient pas pourquoi cela devrait être à elle de se sacrifier, de manquer des jours d’école pour faire le boulot que sa mère devait faire. Pourquoi c’était elle qui devait avoir le rôle de la mère et non Lilith ?! Trish ne le comprenait pas non plus, mais elle savait qu’Iris n’en était pas coupable et qu’elle ne devait donc pas payer pour le taux de stupidité très élevé de sa mère. « Donc une fois de plus, nous voici. Devant chez le médecin avec ta petite sœur, et ta mère ? Elle est où ? » Trish en voulait terriblement à sa mère, mais dans le fond, elle n’aimait pas particulièrement que les gens disent des choses sur elle. La brunette voulait probablement croire au fait que sa mère était en pleine dépression et qu’elle préférait éviter Iris, histoire de ne pas lui faire du mal. Elle pouvait être très naïve par moments Trish, il faut l’avouer. « C’est vrai qu’elle aurait pu se montrer plus présente, mais elle traverse un très mauvais moment. Je dois l’aider. » Elle ne pensait probablement pas un seul mot de ceux qu’elle venait de dire, mais c’était ainsi. Elle ne pouvait pas faire comme eux et laisser Iris, non elle ne le pouvait pas. « Elle traverse un très mauvais moment et toi non peut-être ? Tu mets en dangers ta scolarité, tu passes à peine une heure avec ton petit-copain, qui certes, se montre compréhensif mais doit en avoir un peu marre dans le fond ! Tu es la sœur d’Iris et non sa mère ! » Charlie était probablement une des amies les plus franches de Trish. Elle ne mâchait pas ses mots et malheureusement, elle voyait toujours juste. Elle ne jetait pas des mots en l’air. Elle savait ce qu’elle disait et c’était sans doute ça qui faisait le plus mal à Trish. Comment des amies pouvaient être plus lucides qu’elle dans une situation pareille ? Comment pouvaient-elles voir des choses que Trish ne voyait pas ?!

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En quelques temps, Trish avait largement prit le rôle de mère envers Iris, enfin, ce rôle le lui avait été clairement imposé, elle n’avait pas eu le choix. Quant à l’état de la petite Iris, les médecins semblaient être plutôt optimistes et la petite Iris semblait aller mieux de jour en jour. Trish commençait peu à peu à retrouver le sourire, sachant que sa sœur, allait probablement aller mieux pour de bon. Depuis qu’Iris était venue au monde, dès que Trish terminait les cours, elle s’empressait de rentrer à la maison pour passer le plus de temps possible avec sa sœur, mais avant ce n’était pas une obligation. Elle le faisait par pur plaisir et puis, il y avait certains jours qu’elle rentrait un peu plus tard parce qu’elle trainait avec Josh ou avec ses amis. Maintenant elle ne pouvait plus se le permettre. Vu que Josh et Trish ne passaient plus tellement longtemps ensemble, celui-ci adorait pouvoir la ramener tous les jours à l’école (et le matin, aller la chercher). C’était le seul moment qu’ils avaient vraiment à eux. Les choses devenaient de plus en plus dures, mais ils étaient tellement amoureux qu’ils pouvaient tout surmonter. Depuis des lustres, le couple n’avait plus tellement eu de petits moments de complicité et ils en avaient profité aujourd’hui pour trainer un peu avant que Josh l’a ramène à la maison. Iris allait mieux, Trish se disait qu’elle pouvait respirer un peu et ensuite rentrer à la maison. Deux petites heures après avoir terminé les cours, Josh décida de ramener sa belle à la maison, c’était une belle journée, très belle même, jusqu’au moment où une fois arrivés devant chez Trish, la présence d’une ambulance cassa l’ambiance. Trish se demandait ce qui avait pu bien se passer, Iris allait mieux, mais ce n’était pas pour autant qu’elle était entièrement guérie. Trish s’empressa de rejoindre sa maison toujours en compagnie de son copain, qu’elle ne lâchait jamais, surtout quand son cœur commençait à battre a une vitesse incroyable. Une fois à l’intérieur, elle vit sa mère et son père assis sur le canapé du salon. « Où est Iris ? » finit-elle par demander d’une voix particulièrement inquiète à ses parents. Seule Iris l’inquiétait puisque ses parents, semblaient aller assez bien. Josh semblait déjà avoir tout compris puisqu’à un moment, celui-ci serra particulièrement fort la main de Trish. « Je t’avais dis qu’elle n’irait jamais mieux ! » Finit Lilith par dire d’une voix froide et assez je m’en foutiste. Iris était morte depuis longtemps à ses yeux, le fait qu’elle soit partie physiquement aussi n’a fait que rendre la chose plus réelle aux yeux de Lilith. « Non … Ce n’est pas possible ! ELLE ALLAIT BIEN POURTANT ! » Et c’est ainsi, que Trish s’effondra en larmes dans les bras de Josh. Son pire cauchemar était arrivé. Comment allait-elle pouvoir continuer à mener une vie normale si Iris lui a été cruellement prise ? Les médecins qui semblaient être si optimistes, que s’est-il passé ? Tant de questions pour si peu de réponses. Tant de chagrin pour si peu de réconfort.

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La naissance d’Iris avait apporté à cette famille une bouffée d’air frais, mais sa mort, l’avait complètement détruit. Trish avait frôlé la dépression. Heureusement qu’elle n’était pas seule et qu’elle avait Josh et ses deux meilleurs amis (Byron &. Penelope) pour l’aider à s’en sortir, pour l’aider à ne pas toucher le fond. Les mois après sa mort, ont été pénibles pour Trish et probablement aussi pour ses parents qui n’ont pas su surmonté cette épreuve et ont jugé plus facile de demander le divorce et d’aller chacun de son côté. Trish s’est vue obligée de rester avec sa mère étant donné que son père se disait incapable de prendre soin de Trish comme elle le méritait. Trish ne voulait qu’une chose, retrouver la famille qu’elle avait avant et peut-être oublier cette douleur et ce vide qu’Iris avait laissé. En si peu de temps, la petite avait su prendre tant de place. Lilith, la mère de Trish, n’avait pas seulement demandé le divorce mais avait aussi complètement perdu la raison. Déjà qu’auparavant elle n’en avait pas énormément, là c’est l’horreur. Surtout pour Trish, qui voit ses copains de lycée entrer et sortir de la chambre de sa mère. Oh oui, Lilith avait en quelques sortes repris gout à la vie en couchant avec la plupart des amis de Trish. L’ambiance à la maison n’était déjà pas géniale, mais là, c’était encore pire. Alors que Trish se trouvait à la maison avec Josh – oui parce que depuis le départ de son père, Josh est souvent là, avec Trish - . La sonnette a finit par retentir. Trish s’empressa d’aller ouvrir et à sa plus grande surprise, Michael tenait un énorme bouquet de fleurs qui était d’ailleurs plutôt magnifique. Trish fut assez surprise, surtout qu’elle n’avait pas parlé à Michael depuis un certain temps. « Toi ! Avec un bouquet de fleurs ? » Elle n’y comprenait pas grand-chose. Dans le fond, Trish avait assez peur que ses fleurs soient justement pour ça mère, la situation serait particulièrement gênante sachant que Michael était un des ex petits copains (de primaire) de Trish. « Trish .. Toujours aussi ravissante à ce que je vois ! Euhm, dis-moi, ta mère n’est pas là par hasard ? » La brunette finit par lui lancer un petit regard que seul lui pouvait comprendre. « Ne me dis pas que toi aussi tu couches avec ma mère ? Oh non ! » Avouons-le, c’était assez dégoutant d’imaginer sa propre mère dans les bras d’un adolescents qui a sans doute des fantasmes particulièrement dégoutants, surtout quand il rêve de les réaliser avec une femme qui à l’âge d’être sa propre mère. « Tu parles comme s’il y en avait beaucoup » Lilith qui est dépressive, d’accord c’est totalement compréhensible, mais Lilith qui redevient adolescente et qui se la joue très john tucker must die c’est assez étrange. « Il y en a énormément. J’ai cessé de compter ! Écoute, elle est charmante et a probablement beaucoup d’expérience mais sache que tu es un parmi tant d’autres. D’ailleurs, les fleurs sont très belles » Finit-elle par lui dire en lui lançant un petit sourire assez complice.

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Si sa vie devenait un bordel pas possible, une chose ne changerait jamais, ça elle en était sûre. Sa relation avec Byron n’allait jamais changer. Byron était toujours le même et leur complicité était toujours la même. Ils ont pris certes un peu de distances il y a quelques temps mais les choses sont devenues normales entre eux. Les vrais meilleurs amis restent meilleurs amis jusqu’à la fin des temps. Ils ne se cachent rien, même si parfois certaines choses sont tout simplement pénibles à dire/demander. « Je t’ai déjà parlé du fait que maintenant ma mère s’amuse à coucher avec une grande partie de mes amis. Donc vu que tu es plutôt bien foutu, je me demandais si … Enfin, euhm … Est-ce que tu as déjà couché avec ma mère Byron ? » Elle devait absolument le savoir. Elle ne pouvait pas s’empêcher de par moments le regarder et de s’imaginer toute sorte de choses assez répugnantes. Elle se doutait un peu de sa réponse, jamais Byron oserait faire une chose pareille sachant que cela dérangeait énormément Trish, mais ne sait-on jamais. Les garçons sont tellement imprévisibles, surtout quand une femme cherche à les avoir. Lilith était une femme très séductrice et ce petit côté, elle l’avait très bien caché pendant les dix-huit longues années de mariage avec Marcus. « Non Trish, je n’ai jamais couché avec ta mère. » La brunette fut assez rassurée par cette réponse. Soyons réalistes, après avoir lu cela, vous vous demandez dans quelle famille est-ce que Trish vit. Comment sa mère peut-elle être ainsi, surtout après avoir perdu un enfant. Comment peut-elle détruire la réputation de cette famille, alors qu’elle avait limite préféré abandonner sa fille malade pour ne pas la mettre en jeu ? C’est assez ironique. « Je suis rassurée de savoir que voilà, vous n’avez pas franchi le cap. Mais je suis plus que sûre qu’elle a essayé ! » Trish n’est pas aveugle, et même si entre Byron et elle il ne sait jamais rien passé elle sait très bien voir que c’est un très bel homme qui en fait probablement craquer plus d’une. Trish n’oserait jamais rien avec lui, étant donné que ce serait comme avoir une relation ambigüe avec son propre frère (qu’elle n’a pas en passant.) Elle a beau avoir une famille assez étrange et parfois répugnante, elle essaye vraiment d’éviter les clicher et donc de suivre le même chemin que sa tendre et chère mère.

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Au lycée, tout le monde parlait de l’amour éternel entre Josh et Trish. Ils formaient le couple parfait qui ne se disputait jamais et qui savait surmonter n’importe quelle épreuve. Tout le monde disait que leur relation allait durer une éternité et qu’ils allaient probablement avoir énormément d’enfants et qu’ils allaient avoir un magnifique mariage. Josh et Trish le croyaient aussi. Tout se passait tellement bien entre eux que c’était comme si c’était déjà écrit. Avec le temps, une sorte de routine est venue s’installer entre le couple et Trish en était bien trop aveuglée par l’amour qu’elle éprouvait pour s’en rendre compte. Josh commençait avec le temps, à en avoir marre. Il voulait du nouveau. Malgré cette envie d’essayer de nouvelles choses, Trish était la seule qu’il voulait, la seule qu’il aimait. Le couple avait une sorte d’habitude, quand ils sortaient parfois le soir, ils avaient la chance de pouvoir chacun aller de son côté. Trish avec ses amies et Josh avec ses amis. Depuis toujours, ce petit truc avait toujours fonctionné. Ils ne cherchaient pas à s’étouffer et passer du temps avec leurs amis était très important, surtout pour Josh. Passer une soirée accompagnée des potes de Josh ne dérangerait absolument pas Trish, mais Josh se voir obligé de passer une soirée accompagné des amies de Trish et ben là, c’était une toute autre histoire et donc pour éviter toute sorte de disputes, c’était mieux ainsi. Trish avait en Josh, une confiance aveugle. Jamais elle n’a douté de la sincérité des propos que Josh pouvait entretenir. Même si parfois son cœur lui disait de se méfier, celle-ci se disait qu’elle n’avait aucune raison pour se méfier. Il a tellement été présent pour elle, dans les moments les plus durs, qu’elle ne pouvait s’imaginer une seule seconde que celui-ci avait osé trahir sa confiance. Josh était un homme et les hommes ont des besoins et même si Trish lui donnait tout ce qu’il voulait (d’après ses dires), il n’a pu s’empêcher d’aller voir ailleurs. Le manque d’essayer de nouvelles choses l’a emporté et l’amour qu’il avait envers Trish a été mis en seconde position. « Est-ce que c’est vrai ? » Lui demanda Trish d’une voix particulièrement déterminée. Elle savait que c’était vrai, elle savait que son beau et entièrement infidèle Josh avait couché avec une certaine barmaid de deuxième catégorie. « De quoi tu parles ma puce ? » On pouvait sentir le fait que Josh soit assez mal à l’aise. « C’est nouveau que tu me traites par ma puce. Tu as peur d’oublier mon prénom ou peut-être de le confondre avec la petite barmaid avec qui tu as couché ? » Trish avait une confiance aveugle en lui, mais le temps où elle était naïve c’était terminé. Ses parents en avaient bien profité, cette fois-ci les choses seront différentes. « Ca n’a eu aucune importance à mes yeux. Elle ne t’arrive pas à la cheville Trish. Tu es la seule qui compte à mes yeux. » N’était-ce pas Josh qui avait l’habitude de dire à ses potes qu’une ba*se avait toujours de l’importance ? « Toi aussi tu étais le seul qui comptait à mes yeux. Le seul que j’ai jamais aimé et c’est probablement pour ça que je vais te demander de partir de chez moi maintenant. Je ne veux plus jamais te voir Josh. Plus jamais. C’est terminé ! Ce furent les derniers mots que Trish a échangé avec Josh. Celui-ci a essayé de l’appeler pendant de nombreuses fois, mais Trish refusait d’y répondre. Il croyait quoi ? Qu’elle allait réagir comme une adolescente de dix-sept ans ? Peut-être que s’il l’aurait fait quand elle avait dix-sept ans elle l’aurait probablement pardonné.

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Il y a deux ans, quand Trish était encore avec Josh, celle-ci n’osait pas tellement dire quoi que ce soit à sa mère. Elle était apparemment dépressive et Trish n’en voulait pas rajouter une couche. Sa mère dépassait vraiment les bords et plus le temps passait, plus celle-ci abusait. Trish ne vivait désormais plus avec elle, mais c’était toujours aussi pénible de voir ses amis venir la trouver pour lui poser des questions à propos de sa mère. Dès que Trish croisait sa mère, celle-ci essayait de lui en toucher un petit mot, mais Lilith savait toujours changer de sujet et donc Trish ne pouvait rien lui dire. Depuis que Trish menait sa propre vie, elles avaient moins d’occasions de se croiser mais quand Trish en avait marre de quelque chose et qu’elle voulait a tout pris en faire partie à sa mère, celle-ci était capable de se rappeler de tous les endroits que sa mère serait susceptible de fréquenter et donc, en profiter pour lui en toucher un petit mot. « Écoute maman, je sais que cela doit probablement te faire un bien fou de te sentir désirée par des garçons qui ont la moitié de ton âge, mais tu dois arrêter. C’est ridicule. » Lilith ne semblait pas être très affectée par ce petit rappel à l’ordre donné par sa propre fille qui était a bout de patiente. « J’avoue que ça me fait un bien fou. Tu sais, j’ai peut-être plus de la moitié de ton âge mais je suis toujours en forme. Regarde ce magnifique pull rouge, un peu serré pour toi non ? Et ben il me va à la perfection ! » D’accord, c’est le monde à l’envers. Lilith se croit réellement retournée à sa période adolescente salope, ce n’est pas possible autrement. Ou alors, peut-être que c’est une des multiples réactions de cette soit disant dépression qui dure depuis des lustres. « Non, non non ! Ne change pas de sujet. Je suis ravie que ce pull t’aille à merveille mais arrête de coucher avec mes amis ! » Trish était une très belle femme qui avait certes quelques petites rondeurs quasi invisibles, mais après tout c’est ce qui la rendait assez magnifique et parfaite dans son genre. N’importe quel garçon rêverait de passer une nuit avec Trish, mais contrairement à sa chère mère, Trish n’est pas aussi facile. « Et ne me tourne pas le dos ! Tu crois avoir maigri, et ben tu n’as pas regardé ton derrière ! » Finit-elle par dire de manière assez maladroite au milieu du magasin. « Incroyable ! »

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ANA LA DYNAMITE cutie

et puis Bush ça gère sa maman voilà

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LA BOMBE FANNY

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MA PLUS BELLE cutie

Avec soso -again (a)- ça pète, c'est tout ! I love you

jtaime

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Ma princesse des bois plus que parfaite

again

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JE T'AIME AUSSI

Bienvenueee TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 176230

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MISCHIEVOUS R

TA OUBLIER QUE ELODAÏE GERE AUSSI (y).
Anyway toi + sophia Hearttt

Rainee-Ainsley Emerson a écrit:: TA OUBLIER QUE ELODAÏE GERE AUSSI (y).
Anyway toi + sophia

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ANA (on se reprend) TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 666904

MISCHIEVOUS R

Ok j'ai eu une salle phrase dans ma tête je la dirais pas mais bon.
PUSH IT REAL GOOD hein.

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JADE

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MISCHIEVOUS R

AYAAA GENRE J'AI PAS FAIT DE SCENARIO AVEC CORY SHAME ON ME.

**Invité** Invité

il faut avouer que sophia+kristen c'est fétiche
ALORS RÉSERVE MOI UN SUPER LIENN TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 666904

et surtout bonne chance pour ta fiche

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OUAIS FRANCHEMENT JUNIE

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push it

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Bienvenuuuue, avec Sophia Hot Bush TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 90613

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Brody

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ET DYNAMITE TU SAIS QUOI ? TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 666904

ton nom de famille me fait pensé à John Wakefield :o Et maintenant j'ai peur TRISH ♦ Life throws some curveballs at you and you go where it takes you. 456848

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JUSTEMENT

BOMBE

MISCHIEVOUS R

Arrêtez il gère de rien du tout ce con il a tuer la meilleure du monde.
Maintenant j'ai plus qu'à aller me tuer.

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