Voilà une histoire de cœur de huit mois qui pouvait sembler simple et réciproque sans aucun souci au tableau. Mais c’est bien connu, chaque tableau à sa propre ombre. Cette dernière s’est introduite avec la venue de la sœur ainée de Campbell, à savoir Sade. De retour au bercail, la grande frangine a fêter son retour dans la maisonnée et rien de tel qu’une fête entre amis pour souhaiter la bienvenue. Bells étant occupé ailleurs, elle se devait de retrouver Alec et tous les autres à l’appartement familial. Fermant la portière de sa voiture, elle monta rapidement les escaliers menant à l’appartement où se déroulait la fiesta de sa frangine. Une fois la porte principale poussée, elle constata que comme prévu que le son de la musique était mis à son maximum. Elle salua quelques amis et connaissances d’autrefois, et chercha dès lors sa sœur des yeux, afin de lui remettre un présent pour son retour. Elle tenait à le lui offrir afin de lui rappelait au bon souvenir de leur mère. Pensant la trouver dans sa chambre, elle entra en s’excusant au passage. Acte qu’elle aurait préféré ne pas commettre lorsqu’elle eu la vision de les voir tous les deux - Alec & Sade - assit en train de s'embrasser. Se redressant sur le lit, Sade se mit à jurer contre elle-même, tandis que le brun enfilait de nouveau sa veste afin de poursuivre Bells et de la rattraper pour lui expliquer qu’il avait fait une erreur. Seulement, elle ne l’entendait pas de cette oreille et n’avait qu’une envie, c’était de ne pas le croiser devant elle une nouvelle fois. «
Bells ! Attend je t’en prie ! ». Elle continuait de courir mais en se retournant pour regarder la route elle fut percutée par une voiture. Un accident prématuré qui change la donne pour certains et rien pour d’autres.
DEUX SEMAINES PLUS TARD.Une chambre blanche, dépourvu de gaité totale. Prise au piège de son conscient, elle avait les yeux fermés, des tuyaux lui obstruant nez et bras, une main tenue par son paternel qui s’interrogeait encore sur les causes de son accident. Comment peut elle avoir été la cible du hasard à ce point, n’avait il pas assez souffert ? Le hasard se mêlait toujours de tout alors autant se dire que tout allait bien se passer et que dans quelques jours, quelques heures, et quelques minutes, sa fille vingt années allez sortir de ce trou béant et illusoire qu’est le coma. L’inspecteur avait beau se vouloir optimiste, il n’en demeurait pas moins que les médecins lui avaient dit de ne pas se leurrer, pour autant il ne voulait pas perdre espoir. La porte de la chambre de la clinique claqua dans un bruit audible, et il se retourna n’adressant guère une expression joyeuse au jeune homme qui vint à pénétrer dans la pièce. «
Je pensais pourtant avoir été clair avec vous, Alec. ». Le dénommée Alec s’aventura davantage près du lit où reposait l’inconsciente et s’installa doucement sur lit, le regard vide faisant présentement face à l’influence paternelle de sa petite amie. «
Il vous semble, certainement. Mais en ce qui me concerne je ne la laisserai pas sous prétexte de vos préjugés. ». Une œillade haineuse échappa alors au vieux ronchon, qui réticent à la présence d’Alec se leva d’un pas furibond. «
Te poses-tu la question de sa raison d’être ici ? Penses-tu une seule seconde que tu devrais être à sa place ? Bells est ici par … ». Il n’eu guère le temps de poursuivre sa phrase que le jeune brun répliqua sur une répartie sans égale. «
Vous pensez que je n’y songes pas tous les jours ? Je m’en veux assez pour mes erreurs, mais si elle est ici c’est aussi un hasard. Si le conducteur ne c’était pas abreuver d’alcool … Elle ne serait pas dans cet état d’incertitude. ». Le jeune homme tenait fermement la main de la blondinette, tandis que l’ainé le vrillait d’un regard assassin puis doucement la colère se dissipa de son expression faciale. «
Si je ne te connaissais pas aussi bien Alec, je ne t’aurais jamais autorisé à être aussi proche d’elle. ». Certes son paternel et celui de la jeune femme travaillaient ensemble depuis de nombreuses années, mais le passé ne rapprochait pas toujours les gens. «
Vous savez éperdument combien je tiens à Bells, inspecteur. ». Avait il soufflait d’une voix blanche qui trahissait quelques peu sa souffrance. Main dans les poches, le père célibataire se détourna déposant sa main sur la porte. «
Prend soin d’elle le temps que je m’absente. J’ai des affaires à régler, ils ne s’en sortiront pas si facilement ! ». Il sortit derechef sans demander son reste, la vengeance dans l’esprit. Les minutes de silence défilèrent alors à la vitesse grand « v », mais rien ne semblait perturber l’américain. Caressant doucement la main de la muse silencieuse, il usa d’une voix murmurée. «
J’aimerai que tu me pardonnes ma belle, et pour cela tu te dois de recouvrir le chemin de la lumière. Je t’en prie Campbell, fait un effort ! ». Soudainement, les cils de la Rochfield se froncèrent, puis plus doucement mais certainement elle finit par ouvrir ses prunelles brunes, le souffle quelques peu saccadé «
Bells ... ». Dès lors, le grand brun l’embrassa sur le front soulagé de la voir de nouveau parmi les vivants - mobiles s’entend -. Bells, se sentait perdu s’interrogeant sur l’identité de la personne de tenant à ses cotés. Avait-elle perdue la tête ? Sa mémoire ? Vous visez juste, du moins pour le moment elle est partiellement amnésique, un trait qui joue en la faveur d’Alec mais pour combien de temps encore ?
scénario terminé.
Le prénom & le patronyme sont négociable bien évidement donc si vous n'aimez pas ceux d'origine n'hésitez pas à changer. Certains élèments de l'histoire son essentiels mais on peut toujours en discuter par mp, ma boite mp est ouverte sans soucis (a). Je ne cherche pas un molière de la plume mais une personne présente qui ne lachera pas le role au bout de deux jours. En tout je remercie d'avance la personne qui prendra le rôle
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